35e anniversaire du SEP (anciennement Ano-Sep) : invitation le 25 novembre et historique
Bonjour,
C'est le 25 novembre prochain que le SEP (anciennement Ano-Sep) fêtera ses 35 ans d'existence au restaurant Pasta Express de la rue Jarry!
Cet évènement marquera également le début d'une nouvelle ère pour notre organisme, nouveau nom, nouvelle équipe, nouvelle approche... Par contre notre mission reste la même : offrir support et entraide aux femmes et aux mères de Montréal et de la grande région métropolitaine vivant des difficultés en lien avec la rupture de couple/le divorce.
Pour toutes informations supplémentaires, vous pouvez nous joindre au : (514) 277-9870
Ci-après un texte relatant les moments marquants du SEP !
De Ano-Sep d'hier au SEP d'aujourd’hui ! En 1970, les femmes séparées ou divorcées constituent une très petite portion de la population. Ces femmes sont souvent victimes de discrimination et plus souvent qu'autrement se retrouvent isolées et sans ressources. Cet évènement de vie est alors très mal vécu et plus souvent qu'autrement perçu comme un échec personnel et social. À Montréal, il n'existe à ce moment là pratiquement aucune ressource pour les aider à faire face à leur nouvelle réalité. Plusieurs femmes dans cette situation décident donc de se regrouper pour parler, échanger et partager... Et c'est alors que la grande aventure d'Ano-Sep commence ! Ces femmes séparées et cheffes de famille monoparentale se rendent compte qu'elles ont besoin à la fois de se regrouper, mais également de s'adjoindre le support de divers spécialistes (avocats, psychologues, travailleurs sociaux) pour mieux affronter les problèmes particuliers engendrés par leur situation. Il faut se rappeler qu'à cette époque, une femme seule à la tête d'une famille vivaient une multitude de problématiques sociales et personnelles : exclusion, discrimination, isolement, difficultés économiques, problème de santé physique et mentale, etc... peu d'entre-elles travaillaient à l'extérieur de la maison et par conséquent bien peu étaient salariées! Dans certain cas, les femmes se retrouvaient sans aucun revenu, d'où l'importance d'un réseau d'entraide. Ce petit groupe de femmes lance un appel dans le journal du quartier Ahuntsic et aussitôt plusieurs femmes séparées se joignent à elles pour la première série de rencontres d'Ano-Sep. Le premier groupe se réunit dans un local prêté par la paroisse St-Nicholas d'Ahuntsic. Le mouvement est autonome et les responsables sont des bénévoles. Les téléphones se font à partir des résidences des participantes. Tranquillement, les groupes d'entraide se mettent en place et réunissent de plus en plus de femmes. Ces rencontres se font avec le souci du respect de la vie privée et de l'anonymat de chacune. En novembre 1971, l'association obtient sa Charte. Trois groupes fonctionnent alors à Montréal, dans les quartiers : Ahuntsic, Rosemont et Centre-ville. Une série de rencontres est mise sur pied, et est dispensée par la Commission des Écoles Catholiques de Montréal (C.E.C.M.). On y aborde les préoccupations majeures des femmes : aspect juridique, budget, travail, relations parents-enfants, psychologie, sexualité, la place du père, etc. De plus, des soirées de partage et d'échange sont organisées pour briser l'isolement des membres et créer une chaîne de solidarité et de support. Tout le travail est bénévole ! Pour veiller à l'organisation, plusieurs comités sont formées : conseil d'administration, coordination, animation, téléphone, etc. Par le biais de ces comités, les femmes reprennent tranquillement du pouvoir sur leur vie, acquièrent de nouvelles compétences et développent un nouveau réseau social. En décembre 1971, Ano-Sep reçoit, une artiste de Rimouski qui crée le 1er symbole de l'association, le cœoeur divisé en quatre, qui devient le sceau officiel de l'organisme. Il devient alors urgent de trouver un local pour réunir en un seul lieu les différentes activités de l'association. C’est donc en 1973, grâce à un projet d'initiative local que le secrétariat permanent voit le jour sur la rue St-André. Six employées sont engagées dont Thérèse-Patricia Bilodeau, travailleuse sociale qui deviendra la première directrice de l'organisme. Toujours en 1973, le premier bulletin de liaison est créé « L'oasis du bonheur », au fil du temps ce journal devient « Le Lien ». Le nombre de femmes qui font appel aux services d'Ano-Sep ne cesse d’augmenter, alors que les ressources financières s'épuisent à vue d'oeil ! En 1974, afin d'obtenir une reconnaissance et un financement gouvernemental, Ano-Sep se joint au Carrefour des familles monoparentales du Québec qui oeuvre dans ce sens. Cette organisation devient ensuite la Fédération des Familles Monoparentales et Recomposées du Québec (FAFMRQ), dont nous sommes toujours membre actif. En 1976, L'archevêché de Montréal nous accorde une subvention et nous apporte une précieuse aide pour notre demande de subvention à Centraide. En septembre de cette même année l'Éducation des adultes de Verdun, nous accorde une subvention qui nous permet d'engager plusieurs personnes-ressources. En 1978, après plusieurs années d'’attente, Centraide nous octroie une subvention qui non seulement assure la survie d'Ano-Sep, mais qui permet également son développement. En février 1980, un service de halte-garderie est mis en place. Il est offert gratuitement aux femmes présentes aux activités. Malheureusement et heureusement, l'arrivée des garderies à 5,00$ viendra mettre fin à ce service complémentaire. Cette année-là, Ano-Sep participe activement à une recherche intitulée « Pour des conditions de vie décentes, visant à l'amélioration de la situation socio-économique des femmes monoparentales ». Faute de financement et d'espace, Ano-Sep déménagera trois fois de 1981 à 1988 ! L'organisme trouve enfin sa place en 1988, au Centre Jean-Marie Gauvreau de la rue Jean-Talon Est dans le quartier Villeray (nous y sommes toujours). En octobre 1984 et cela pour les deux années suivantes, Ano-Sep est invité par Centraide à parrainer le projet Re-Nou-Vie à Châteauguay. Ce centre pour femmes monoparentales développera de nombreux services et activités pour aider les familles monoparentales. Il est aujourd'hui une référence incontournable sur la Rive-Sud. De 87 à 85, Ano-Sep continue son développement et répond aux différents besoins des femmes séparées et des familles monoparentales, grâce à l'aide de plusieurs employées, elles-mêmes monoparentales, engagées sur des programmes d'employabilité du Québec. En 1990, les ateliers ; d'autonomie affective, d'estime de soi et de créativité viennent compléter les groupe, d'entraide de base. En 1994, et après 22 ans de bons et loyaux services, Thérèse-Patricia Bilodeau prend sa retraite. Elle est remplacée, par Claire Bosman travailleuse d'Ano-Sep, qui passe de l'intervention à la direction. En décembre 1994, Ano-Sep dévoile officiellement son nouveau logo. En 1998, Ano-Sep devient membre du ROCFM (regroupement des organismes communautaires Famille Montréal), qui a pour mission de regrouper et de soutenir les organismes communautaires famille. Les subventions accordées par Centraide, par la Conférence Religieuse Canadienne et par la Régie Régionale de la Santé et des Services Sociaux du Québec permettent de maintenir une stabilité, tant au niveau du secrétariat, que du personnel. Aussi, plusieurs dons privés, de matériels informatiques et de matériels de bureau, participent à l'amélioration des conditions de travail. En 2002, la directrice générale, Claire Bosman songe à prendre sa retraite. Des démarches sont entreprises pour lui trouver une remplaçante. Une année plus tard, Laurence Lagouarde est engagée pour lui succéder. Elle est issue du milieu des groupes de femmes et connaît bien la réalité des femmes séparées et des familles monoparentales. Plusieurs défis de taille l'attendent ! Ano-Sep existe alors depuis 32 ans, la réalité des femmes séparées et monoparentales a bien changé, les lois et normes sociales également. Le temps était donc venu pour Ano-Sep de se re-situer, de se restructurer, de se repositionner. Ce grand travail de planification stratégique est entrepris avec l'aide financière d'Emploi-Québec et en collaboration avec l'équipe de travail, le conseil d'administration et la direction. Aujourd'hui en 2006, nous pouvons dire mission accomplie ! Ano-Sep a réussi sa réactualisation, il est devenu le SEP (Service d'Entraide Passerelle), il offre encore et toujours support et entraide aux femmes et aux mères de Montréal et de la grande région métropolitaine vivant des difficultés en lien avec la rupture de couple/le divorce. Par cette démarche, nous avons amélioré et développé davantage nos activités pour devenir aujourd'hui, un organisme majeur en matière de séparation et de monoparentalité dans la grande région métropolitaine de Montréal. Nos partenaires d'hier restent fidèles et continuent de nous soutenir dans nos différents projets. Afin de rejoindre les femmes en difficulté partout où elles se trouvent, plusieurs de nos formations sont maintenant offertes dans divers organismes femmes et familles de Montréal et de la grande région métropolitaine. Tout au long de ces nombreuses années d'existence, le SEP a appuyé de nombreuses causes et participer activement à plusieurs dossiers concernant les femmes séparées et les familles monoparentales tel que : les logements à prix modiques, le partage des biens lors de la séparation, la défiscalisation des pensions alimentaires, le mouvement contre la violence faite aux femmes, l'accès à l’égalité, la marche mondiale des femmes, la coalition contre la pauvreté, etc... et tant d'autres dossiers chauds de l'heure. Depuis 1971, des milliers de femmes sans distinction d'âge, de nationalité, de religion ou de condition sociale ont bénéficié de nos services et activités afin de retrouver le goût de reprendre le chemin là où il s'était arrêté. Elles ont trouvé chez nous une écoute supportante, un accueil sans-jugement, des services et des activités d'entraide et d'accompagnement qui leur ont permis de faire des choix, de se sensibiliser, de se conscientiser et ainsi participer à la transformation de la société québécoise. Leur ténacité, leur persévérance, leur courage a contribué à faire du SEP ce qu'il est aujourd'hui. À toutes, ces femmes, à toutes les membres, à toutes les bénévoles et à toutes les employées qui font partie du passé et du présent du SEP, je dis un IMMENSE MERCI ET UN BON 35IÈME ANNIVERSAIRE ! -- Texte écrit par Laurence Lagouarde, directrice générale du SEP Plusieurs extraits sont tirés de l'historique d'Ano-Sep écrit par Claire Bosman -30- Contact : Laurence Lagouarde - (514) 277-9870
De Ano-Sep d'hier au SEP d'aujourd’hui ! En 1970, les femmes séparées ou divorcées constituent une très petite portion de la population. Ces femmes sont souvent victimes de discrimination et plus souvent qu'autrement se retrouvent isolées et sans ressources. Cet évènement de vie est alors très mal vécu et plus souvent qu'autrement perçu comme un échec personnel et social. À Montréal, il n'existe à ce moment là pratiquement aucune ressource pour les aider à faire face à leur nouvelle réalité. Plusieurs femmes dans cette situation décident donc de se regrouper pour parler, échanger et partager... Et c'est alors que la grande aventure d'Ano-Sep commence ! Ces femmes séparées et cheffes de famille monoparentale se rendent compte qu'elles ont besoin à la fois de se regrouper, mais également de s'adjoindre le support de divers spécialistes (avocats, psychologues, travailleurs sociaux) pour mieux affronter les problèmes particuliers engendrés par leur situation. Il faut se rappeler qu'à cette époque, une femme seule à la tête d'une famille vivaient une multitude de problématiques sociales et personnelles : exclusion, discrimination, isolement, difficultés économiques, problème de santé physique et mentale, etc... peu d'entre-elles travaillaient à l'extérieur de la maison et par conséquent bien peu étaient salariées! Dans certain cas, les femmes se retrouvaient sans aucun revenu, d'où l'importance d'un réseau d'entraide. Ce petit groupe de femmes lance un appel dans le journal du quartier Ahuntsic et aussitôt plusieurs femmes séparées se joignent à elles pour la première série de rencontres d'Ano-Sep. Le premier groupe se réunit dans un local prêté par la paroisse St-Nicholas d'Ahuntsic. Le mouvement est autonome et les responsables sont des bénévoles. Les téléphones se font à partir des résidences des participantes. Tranquillement, les groupes d'entraide se mettent en place et réunissent de plus en plus de femmes. Ces rencontres se font avec le souci du respect de la vie privée et de l'anonymat de chacune. En novembre 1971, l'association obtient sa Charte. Trois groupes fonctionnent alors à Montréal, dans les quartiers : Ahuntsic, Rosemont et Centre-ville. Une série de rencontres est mise sur pied, et est dispensée par la Commission des Écoles Catholiques de Montréal (C.E.C.M.). On y aborde les préoccupations majeures des femmes : aspect juridique, budget, travail, relations parents-enfants, psychologie, sexualité, la place du père, etc. De plus, des soirées de partage et d'échange sont organisées pour briser l'isolement des membres et créer une chaîne de solidarité et de support. Tout le travail est bénévole ! Pour veiller à l'organisation, plusieurs comités sont formées : conseil d'administration, coordination, animation, téléphone, etc. Par le biais de ces comités, les femmes reprennent tranquillement du pouvoir sur leur vie, acquièrent de nouvelles compétences et développent un nouveau réseau social. En décembre 1971, Ano-Sep reçoit, une artiste de Rimouski qui crée le 1er symbole de l'association, le cœoeur divisé en quatre, qui devient le sceau officiel de l'organisme. Il devient alors urgent de trouver un local pour réunir en un seul lieu les différentes activités de l'association. C’est donc en 1973, grâce à un projet d'initiative local que le secrétariat permanent voit le jour sur la rue St-André. Six employées sont engagées dont Thérèse-Patricia Bilodeau, travailleuse sociale qui deviendra la première directrice de l'organisme. Toujours en 1973, le premier bulletin de liaison est créé « L'oasis du bonheur », au fil du temps ce journal devient « Le Lien ». Le nombre de femmes qui font appel aux services d'Ano-Sep ne cesse d’augmenter, alors que les ressources financières s'épuisent à vue d'oeil ! En 1974, afin d'obtenir une reconnaissance et un financement gouvernemental, Ano-Sep se joint au Carrefour des familles monoparentales du Québec qui oeuvre dans ce sens. Cette organisation devient ensuite la Fédération des Familles Monoparentales et Recomposées du Québec (FAFMRQ), dont nous sommes toujours membre actif. En 1976, L'archevêché de Montréal nous accorde une subvention et nous apporte une précieuse aide pour notre demande de subvention à Centraide. En septembre de cette même année l'Éducation des adultes de Verdun, nous accorde une subvention qui nous permet d'engager plusieurs personnes-ressources. En 1978, après plusieurs années d'’attente, Centraide nous octroie une subvention qui non seulement assure la survie d'Ano-Sep, mais qui permet également son développement. En février 1980, un service de halte-garderie est mis en place. Il est offert gratuitement aux femmes présentes aux activités. Malheureusement et heureusement, l'arrivée des garderies à 5,00$ viendra mettre fin à ce service complémentaire. Cette année-là, Ano-Sep participe activement à une recherche intitulée « Pour des conditions de vie décentes, visant à l'amélioration de la situation socio-économique des femmes monoparentales ». Faute de financement et d'espace, Ano-Sep déménagera trois fois de 1981 à 1988 ! L'organisme trouve enfin sa place en 1988, au Centre Jean-Marie Gauvreau de la rue Jean-Talon Est dans le quartier Villeray (nous y sommes toujours). En octobre 1984 et cela pour les deux années suivantes, Ano-Sep est invité par Centraide à parrainer le projet Re-Nou-Vie à Châteauguay. Ce centre pour femmes monoparentales développera de nombreux services et activités pour aider les familles monoparentales. Il est aujourd'hui une référence incontournable sur la Rive-Sud. De 87 à 85, Ano-Sep continue son développement et répond aux différents besoins des femmes séparées et des familles monoparentales, grâce à l'aide de plusieurs employées, elles-mêmes monoparentales, engagées sur des programmes d'employabilité du Québec. En 1990, les ateliers ; d'autonomie affective, d'estime de soi et de créativité viennent compléter les groupe, d'entraide de base. En 1994, et après 22 ans de bons et loyaux services, Thérèse-Patricia Bilodeau prend sa retraite. Elle est remplacée, par Claire Bosman travailleuse d'Ano-Sep, qui passe de l'intervention à la direction. En décembre 1994, Ano-Sep dévoile officiellement son nouveau logo. En 1998, Ano-Sep devient membre du ROCFM (regroupement des organismes communautaires Famille Montréal), qui a pour mission de regrouper et de soutenir les organismes communautaires famille. Les subventions accordées par Centraide, par la Conférence Religieuse Canadienne et par la Régie Régionale de la Santé et des Services Sociaux du Québec permettent de maintenir une stabilité, tant au niveau du secrétariat, que du personnel. Aussi, plusieurs dons privés, de matériels informatiques et de matériels de bureau, participent à l'amélioration des conditions de travail. En 2002, la directrice générale, Claire Bosman songe à prendre sa retraite. Des démarches sont entreprises pour lui trouver une remplaçante. Une année plus tard, Laurence Lagouarde est engagée pour lui succéder. Elle est issue du milieu des groupes de femmes et connaît bien la réalité des femmes séparées et des familles monoparentales. Plusieurs défis de taille l'attendent ! Ano-Sep existe alors depuis 32 ans, la réalité des femmes séparées et monoparentales a bien changé, les lois et normes sociales également. Le temps était donc venu pour Ano-Sep de se re-situer, de se restructurer, de se repositionner. Ce grand travail de planification stratégique est entrepris avec l'aide financière d'Emploi-Québec et en collaboration avec l'équipe de travail, le conseil d'administration et la direction. Aujourd'hui en 2006, nous pouvons dire mission accomplie ! Ano-Sep a réussi sa réactualisation, il est devenu le SEP (Service d'Entraide Passerelle), il offre encore et toujours support et entraide aux femmes et aux mères de Montréal et de la grande région métropolitaine vivant des difficultés en lien avec la rupture de couple/le divorce. Par cette démarche, nous avons amélioré et développé davantage nos activités pour devenir aujourd'hui, un organisme majeur en matière de séparation et de monoparentalité dans la grande région métropolitaine de Montréal. Nos partenaires d'hier restent fidèles et continuent de nous soutenir dans nos différents projets. Afin de rejoindre les femmes en difficulté partout où elles se trouvent, plusieurs de nos formations sont maintenant offertes dans divers organismes femmes et familles de Montréal et de la grande région métropolitaine. Tout au long de ces nombreuses années d'existence, le SEP a appuyé de nombreuses causes et participer activement à plusieurs dossiers concernant les femmes séparées et les familles monoparentales tel que : les logements à prix modiques, le partage des biens lors de la séparation, la défiscalisation des pensions alimentaires, le mouvement contre la violence faite aux femmes, l'accès à l’égalité, la marche mondiale des femmes, la coalition contre la pauvreté, etc... et tant d'autres dossiers chauds de l'heure. Depuis 1971, des milliers de femmes sans distinction d'âge, de nationalité, de religion ou de condition sociale ont bénéficié de nos services et activités afin de retrouver le goût de reprendre le chemin là où il s'était arrêté. Elles ont trouvé chez nous une écoute supportante, un accueil sans-jugement, des services et des activités d'entraide et d'accompagnement qui leur ont permis de faire des choix, de se sensibiliser, de se conscientiser et ainsi participer à la transformation de la société québécoise. Leur ténacité, leur persévérance, leur courage a contribué à faire du SEP ce qu'il est aujourd'hui. À toutes, ces femmes, à toutes les membres, à toutes les bénévoles et à toutes les employées qui font partie du passé et du présent du SEP, je dis un IMMENSE MERCI ET UN BON 35IÈME ANNIVERSAIRE ! -- Texte écrit par Laurence Lagouarde, directrice générale du SEP Plusieurs extraits sont tirés de l'historique d'Ano-Sep écrit par Claire Bosman -30- Contact : Laurence Lagouarde - (514) 277-9870