Colloque franco-belge «Ateliers d'écriture et illettrisme»
Les 25 et 26 septembre 2007 à la Médiathèque Cathédrale de Reims, se
déroulera le colloque franco-belge «Ateliers d'écriture et illettrisme». Voici quelques questions qui seront soulevées lors de ce colloque.
Dans la vie comme dans les apprentissages, la dimension « créativité » est essentielle. C'est par son intermédiaire que l'on peut se situer dans le monde, vibrer aux différentes formes d'expression, accéder au « sens » et à la « valeur » des choses. La réalité a besoin de s'ouvrir à la sensibilité, à la dimension imaginaire. Apprendre à écrire n'est pas seulement utile pour la vie quotidienne, c'est aussi un moyen de se comprendre soi-même, d'être reconnu par d'autres et d'intervenir sur le monde en le réécrivant. Chacun porte en soi le pouvoir de rêver, de créer, d'imaginer.
Aujourd'hui, on peut constater le développement de pratiques culturelles en formation, au sein des Maisons de quartier, CHRS, Centres sociaux, Maisons d'Arrêt... et plus particulièrement la mise en oeuvre d'ateliers d'écriture. Il semble que cette terminologie regroupe des sens divers et variés. Que signifie le terme atelier d'écriture ? Quels en sont les enjeux ? Quelles sont les compétences requises pour animer un atelier d'écriture ? Quelles pratiques mettre en oeuvre, avec quels publics et pour quels effets ? Quel peut être l'apport de l'écrivain ou de l'artiste dans ces démarches ? En quoi l'atelier d'écriture, en tant que pratique culturelle, peut-il contribuer à l'émancipation sociale et améliorer la dimension formative ? Quels sont le rôle et le sens d'une démarche de collaboration entre artistes, écrivains, bibliothécaires, formateurs, travailleurs sociaux et personnes vivant des difficultés d'expression ? Comment croiser les langages, les moyens d'expression au service d'une nouvelle pédagogie partagée ?
(Tiré du programme du colloque)
Consultez le programme du colloque (754 KB) (pdf)
Dans la vie comme dans les apprentissages, la dimension « créativité » est essentielle. C'est par son intermédiaire que l'on peut se situer dans le monde, vibrer aux différentes formes d'expression, accéder au « sens » et à la « valeur » des choses. La réalité a besoin de s'ouvrir à la sensibilité, à la dimension imaginaire. Apprendre à écrire n'est pas seulement utile pour la vie quotidienne, c'est aussi un moyen de se comprendre soi-même, d'être reconnu par d'autres et d'intervenir sur le monde en le réécrivant. Chacun porte en soi le pouvoir de rêver, de créer, d'imaginer.
Aujourd'hui, on peut constater le développement de pratiques culturelles en formation, au sein des Maisons de quartier, CHRS, Centres sociaux, Maisons d'Arrêt... et plus particulièrement la mise en oeuvre d'ateliers d'écriture. Il semble que cette terminologie regroupe des sens divers et variés. Que signifie le terme atelier d'écriture ? Quels en sont les enjeux ? Quelles sont les compétences requises pour animer un atelier d'écriture ? Quelles pratiques mettre en oeuvre, avec quels publics et pour quels effets ? Quel peut être l'apport de l'écrivain ou de l'artiste dans ces démarches ? En quoi l'atelier d'écriture, en tant que pratique culturelle, peut-il contribuer à l'émancipation sociale et améliorer la dimension formative ? Quels sont le rôle et le sens d'une démarche de collaboration entre artistes, écrivains, bibliothécaires, formateurs, travailleurs sociaux et personnes vivant des difficultés d'expression ? Comment croiser les langages, les moyens d'expression au service d'une nouvelle pédagogie partagée ?
(Tiré du programme du colloque)
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