La FCE s’unit aux Premières nations à l’occasion de la Journée nationale de protestation
(Service de nouvelles de la FCE — Ottawa) Le vendredi 29 juin, la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants s’associe à l’Assemblée des Premières Nations, à d’autres organisations autochtones ainsi qu’à des centaines de groupes nationaux, provinciaux et communautaires à l’échelle du Canada à l’occasion de la Journée nationale de protestation pour demander que le gouvernement du Canada travaille en partenariat avec les Premières nations pour régler les enjeux de longue date en matière de justice et d’équité.
« Nos 220 000 membres prient le gouvernement de prendre des mesures immédiates pour résoudre des questions de longue date, tels la pauvreté, le règlement des revendications territoriales et le développement de l’économie des Premières nations », de dire le président de la FCE, Winston Carter.
« Il est inacceptable qu’u n enfant des Premières nations sur quatre vive dans la pauvreté et que 40 p. 100 des enfants autochtones habitant hors réserve vivent sous le seuil de la pauvreté. Une étape cruciale à franchir pour bâtir l’économie, réduire la pauvreté et ouvrir des perspectives d’avenir consiste à développer un système d’éducation de qualité qui favorisera le succès des enfants des Premières nations tout autant que ne le fait le système d’éducation publique pour les autres enfants du Canada. »
La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants s’emploie à promouvoir l’amélioration du système d’éducation des Premières nations. À ce mandat se greffe une autre grande priorité de la Fédération, soit l’élimination de la pauvreté infantile. La FCE voit comme une source d’embarras national le fait qu’au Canada, pays considéré comme un véritable chef de file dans le monde, des enfants vivent dans la pauvreté et n’ont pas accès à une éducation de qualité — cette éducation qui pourrait justement leur faire acquérir l’estime de soi, les aptitudes de lecture et d’écriture de même que le leadership nécessaires pour ouvrir de nouvelles possibilités .
« Nous exhortons le gouvernement fédéral à entamer un dialogue constructif avec les Premières nations et les communautés autochtones, réitère M. Carter, un dialogue qui se soldera par des initiatives propres à améliorer la qualité de vie de tous les peuples des Premières nations. »
La FCE est la porte-parole nationale de 220 000 enseignantes et enseignants du Canada par rapport à l’éducation et à des questions sociales connexes. Elle compte des organisations Membres dans l’ensemble des provinces et des territoires du Canada. La FCE (http://ww.ctf-fce.ca) adhère également à l’organisation internationale des membres de la profession enseignante, soit l’Internationale de l'Éducation (http://www.ei-ie.org).
« Nos 220 000 membres prient le gouvernement de prendre des mesures immédiates pour résoudre des questions de longue date, tels la pauvreté, le règlement des revendications territoriales et le développement de l’économie des Premières nations », de dire le président de la FCE, Winston Carter.
« Il est inacceptable qu’u n enfant des Premières nations sur quatre vive dans la pauvreté et que 40 p. 100 des enfants autochtones habitant hors réserve vivent sous le seuil de la pauvreté. Une étape cruciale à franchir pour bâtir l’économie, réduire la pauvreté et ouvrir des perspectives d’avenir consiste à développer un système d’éducation de qualité qui favorisera le succès des enfants des Premières nations tout autant que ne le fait le système d’éducation publique pour les autres enfants du Canada. »
La Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants s’emploie à promouvoir l’amélioration du système d’éducation des Premières nations. À ce mandat se greffe une autre grande priorité de la Fédération, soit l’élimination de la pauvreté infantile. La FCE voit comme une source d’embarras national le fait qu’au Canada, pays considéré comme un véritable chef de file dans le monde, des enfants vivent dans la pauvreté et n’ont pas accès à une éducation de qualité — cette éducation qui pourrait justement leur faire acquérir l’estime de soi, les aptitudes de lecture et d’écriture de même que le leadership nécessaires pour ouvrir de nouvelles possibilités .
« Nous exhortons le gouvernement fédéral à entamer un dialogue constructif avec les Premières nations et les communautés autochtones, réitère M. Carter, un dialogue qui se soldera par des initiatives propres à améliorer la qualité de vie de tous les peuples des Premières nations. »
La FCE est la porte-parole nationale de 220 000 enseignantes et enseignants du Canada par rapport à l’éducation et à des questions sociales connexes. Elle compte des organisations Membres dans l’ensemble des provinces et des territoires du Canada. La FCE (http://ww.ctf-fce.ca) adhère également à l’organisation internationale des membres de la profession enseignante, soit l’Internationale de l'Éducation (http://www.ei-ie.org).
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