Journée internationale de l'alphabétisation : Dossier spécial du Devoir
Comme à chaque année, le journal Le Devoir a fait un dossier spécial Alphabétisation pour son édition du samedi 8 et dimanche 9 septembre. Voici des liens pour consulter des articles sur l'alphabétisation populaire, l'alphabétisation et le formation de base en milieu de travail, la lutte contre l'analphabétisme chez les enfants et leurs parents et sur le bilan de la première politique gouvernementale en matière d'éducation des adultes et de formation continue
Groupes populaires en alphabétisation : un Québec sans mots
article de Martine Letarte
Extrait : L'automne sera crucial pour les groupes populaires en alphabétisation du Québec. Lors de la consultation publique qui sera tenue en vue de la préparation de la nouvelle politique d'éducation des adultes et de formation continue, ils tenteront d'obtenir un financement plus adéquat et des mesures de soutien pour les personnes qui entreprennent une démarche d'alphabétisation. Des demandes bien justifiées, à l'heure où, selon Statistique Canada, environ 55 % de la population âgée de 16 ans ou plus au Québec n'atteint pas le niveau de littératie nécessaire pour fonctionner aisément dans la société actuelle.
article de Martine Letarte
Extrait : L'Afrique a des besoins énormes en matière d'alphabétisation qui ne sont évidemment pas comparables à ceux du Canada. Lors du Forum international sur l'éducation non formelle qui s'est tenu en janvier dernier à Niamey, au Niger, les différents intervenants se sont rendu compte que, d'un continent à l'autre, les enjeux demeurent toutefois les mêmes: sous-financement, efforts d'alphabétisation peu valorisés et peu médiatisés.
article de Réginald Harvey
Extrait : Comment mesurer le chemin parcouru au cours des dernières années pour faire avancer la cause de la formation de base? En est-on au stade du sur-place ou des avancées? En ce sens, le gouvernement Harper nuit-il aux progrès en matière d'alphabétisation en sabrant de plus de 17 millions de dollars en deux ans les budgets consacrés à cette fin? La CSN et la FTQ prennent position.
article de Claude Lafleur
Extrait : Selon les plus récentes données, 49 % des Québécois âgés de 16 à 65 ans n'ont pas la capacité de lire suffisamment bien pour fonctionner dans notre monde moderne. À défaut d'un meilleur terme, indique Maryse Perreault, présidente-directrice générale de la Fondation pour l'alphabétisation, on les considère comme des analphabètes, même s'ils savent lire. «Ces personnes n'ont pas les habiletés requises pour remplir un emploi de qualité raisonnable, pour faire face et s'adapter aux changements, pour aider leurs enfants à l'école ou, tout bonnement, pour jouer leur rôle de citoyen», résume-t-elle.
article de Thierry Haroun
Extrait : «Les différentes actions entreprises par le gouvernement du Québec pour lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale ne pourront avoir d'effets durables que si les personnes rehaussent et mettent à jour leurs compétences, en particulier lorsque leur formation de base est insuffisante», avait déclaré l'ex-premier ministre Bernard Landry, le 2 mai 2002, au moment où son gouvernement a rendu publics la première politique gouvernementale d'éducation des adultes et de formation continue ainsi que le plan d'action qui l'accompagne. L'heure sera au bilan à l'automne. Qu'en est-il de cette politique?
Groupes populaires en alphabétisation : un Québec sans mots
article de Martine Letarte
Extrait : L'automne sera crucial pour les groupes populaires en alphabétisation du Québec. Lors de la consultation publique qui sera tenue en vue de la préparation de la nouvelle politique d'éducation des adultes et de formation continue, ils tenteront d'obtenir un financement plus adéquat et des mesures de soutien pour les personnes qui entreprennent une démarche d'alphabétisation. Des demandes bien justifiées, à l'heure où, selon Statistique Canada, environ 55 % de la population âgée de 16 ans ou plus au Québec n'atteint pas le niveau de littératie nécessaire pour fonctionner aisément dans la société actuelle.
Voir aussi à ce sujetUne population analphabète à 80 %
JIA : Il est urgent de consolider le réseau québécois de l'alphabétisation populaire
article de Martine Letarte
Extrait : L'Afrique a des besoins énormes en matière d'alphabétisation qui ne sont évidemment pas comparables à ceux du Canada. Lors du Forum international sur l'éducation non formelle qui s'est tenu en janvier dernier à Niamey, au Niger, les différents intervenants se sont rendu compte que, d'un continent à l'autre, les enjeux demeurent toutefois les mêmes: sous-financement, efforts d'alphabétisation peu valorisés et peu médiatisés.
Voir aussi à ce sujetSyndicalisme - Difficile scolarisation
Éducation non formelle et alphabétisation en Afrique de l'Ouest : investir dans le capital humain (compte-rendu du Forum de Niamey, publié dans la Zone EFA du CDÉACF)
À lire 2007 (plusieurs articles de cette revue de la FCAF sont consacrées à l'alphabétisation en Afrique et au forum de Niamey)
article de Réginald Harvey
Extrait : Comment mesurer le chemin parcouru au cours des dernières années pour faire avancer la cause de la formation de base? En est-on au stade du sur-place ou des avancées? En ce sens, le gouvernement Harper nuit-il aux progrès en matière d'alphabétisation en sabrant de plus de 17 millions de dollars en deux ans les budgets consacrés à cette fin? La CSN et la FTQ prennent position.
Voir aussi à ce sujetFondation pour l'alphabétisation - Vaincre l'analphabétisme
Le goût d'apprendre : Se former pour améliorer le travail et la vie (compte-rendu sur le guide de la CSN pour la formation de base en milieu syndical)
article de Claude Lafleur
Extrait : Selon les plus récentes données, 49 % des Québécois âgés de 16 à 65 ans n'ont pas la capacité de lire suffisamment bien pour fonctionner dans notre monde moderne. À défaut d'un meilleur terme, indique Maryse Perreault, présidente-directrice générale de la Fondation pour l'alphabétisation, on les considère comme des analphabètes, même s'ils savent lire. «Ces personnes n'ont pas les habiletés requises pour remplir un emploi de qualité raisonnable, pour faire face et s'adapter aux changements, pour aider leurs enfants à l'école ou, tout bonnement, pour jouer leur rôle de citoyen», résume-t-elle.
Voir aussi à ce sujetQuébec - Un bilan pour l'automne
5,4,3,2... Des chiffres qui parlent du niveau 1 de littératie au Québec
article de Thierry Haroun
Extrait : «Les différentes actions entreprises par le gouvernement du Québec pour lutter contre la pauvreté et l'exclusion sociale ne pourront avoir d'effets durables que si les personnes rehaussent et mettent à jour leurs compétences, en particulier lorsque leur formation de base est insuffisante», avait déclaré l'ex-premier ministre Bernard Landry, le 2 mai 2002, au moment où son gouvernement a rendu publics la première politique gouvernementale d'éducation des adultes et de formation continue ainsi que le plan d'action qui l'accompagne. L'heure sera au bilan à l'automne. Qu'en est-il de cette politique?