L’UNESCO et la Bibliothèque du Congrès signent un accord sur la Bibliothèque numérique mondiale
L’UNESCO et la Bibliothèque du Congrès des Etats-Unis vont unir leurs forces pour construire une Bibliothèque numérique mondiale suite à un accord signé par Abdul Waheed Khan, Sous-Directeur général de l’UNESCO pour la Communication et l’Information, et le Bibliothécaire du Congrès, James H. Billington, au siège de l’UNESCO à Paris, le 17 octobre 2007.
La Bibliothèque numérique mondiale numérisera des documents uniques et rares provenant de bibliothèques et d’institutions culturelles du monde entier et les mettra à disposition gratuitement sur Internet. Parmi ces documents figurent des manuscrits, des cartes, des livres, des partitions, des enregistrements sonores, des films, des imprimés et des photographies.
Du 15 octobre après-midi jusqu’au 19 octobre, à l’extérieur de la Salle X au siège de l’UNESCO, un prototype de la Bibliothèque numérique mondiale sera présenté et testé devant des délégués des 193 Etats membres de l’UNESCO participant à la Conférence générale de l’Organisation. Le prototype a été réalisé par la Bibliothèque du Congrès et l’UNESCO et cinq autres institutions partenaires : la Bibliothèque Alexandrina, la Bibliothèque nationale d’Egypte, la Bibliothèque nationale du Brésil, la Bibliothèque nationale de Russie et la Bibliothèque d’Etat russe.
Le prototype fonctionne en arabe, chinois, anglais, français, russe et espagnol, les six langues officielles des Nations Unies, ainsi qu’en portugais. Sa navigation et son moteur de recherche sont organisés par lieu, date, sujet et institution concernée.
Le projet de Bibliothèque numérique mondiale a été conçu pour promouvoir la compréhension internationale et interculturelle, améliorer la qualité et la diversité du contenu culturel sur Internet et contribuer à l’éducation et à la recherche universitaire.
« Les bibliothèques sont des lieux clés pour assurer l’accès universel à l’information et pour construire des sociétés du savoir. », a déclaré le Directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura. « Nous sommes très contents de poursuivre le développement de l’excellent partenariat que nous entretenons de longue date avec la Bibliothèque du Congrès en travaillant sur des méthodes innovantes pour préserver et rendre accessible la mémoire du monde ».
« Nous nous réjouissons de continuer et d’intensifier notre collaboration avec l’UNESCO, de travailler avec l’Organisation et son personnel afin de permettre aux bibliothèques, aux archives et aux musées du monde entier de nous rejoindre pour rendre leurs trésors culturels accessibles en ligne » », a déclaré M. Billington.
Selon les termes de l’accord, la Bibliothèque du Congrès et l’UNESCO vont coopérer en réunissant des groupes de travail d’experts et autres parties prenantes afin de développer des lignes directrices et des spécification techniques pour le projet, en recrutant de nouveaux partenaires et en obtenant des soutiens de sources publiques et privées.
L’un des aspects clés du projet est de donner la capacité aux pays en développement de créer des bibliothèques numériques, afin que tous les pays et toutes les régions puissent participer et figurer dans la Bibliothèque numérique mondiale.
Le projet poursuit un travail déjà mené par le Programme de l’UNESCO Mémoire du monde qui cherche à préserver le patrimoine documentaire. Ce patrimoine est le reflet de la diversité des langues, des peuples et des cultures et constitue le miroir du monde et sa mémoire. Mais cette mémoire est fragile ; chaque jour, des fragments irremplaçables disparaissent à jamais. L’UNESCO a lancé le Programme Mémoire du monde pour prévenir l’amnésie collective en contribuant à la conservation des archives et des collections des bibliothèques dans le monde et en s’assurant de leur large diffusion.
Fondée en 1800, la Bibliothèque du Congrès est la plus vieille institution fédérale des Etats-Unis d’Amérique, et la plus grande bibliothèque du monde, avec plus de 134 millions de documents dans plus de 450 langues. Ses collections sont de portée universelle et dans tous les formats existants.
La Bibliothèque numérique mondiale numérisera des documents uniques et rares provenant de bibliothèques et d’institutions culturelles du monde entier et les mettra à disposition gratuitement sur Internet. Parmi ces documents figurent des manuscrits, des cartes, des livres, des partitions, des enregistrements sonores, des films, des imprimés et des photographies.
Du 15 octobre après-midi jusqu’au 19 octobre, à l’extérieur de la Salle X au siège de l’UNESCO, un prototype de la Bibliothèque numérique mondiale sera présenté et testé devant des délégués des 193 Etats membres de l’UNESCO participant à la Conférence générale de l’Organisation. Le prototype a été réalisé par la Bibliothèque du Congrès et l’UNESCO et cinq autres institutions partenaires : la Bibliothèque Alexandrina, la Bibliothèque nationale d’Egypte, la Bibliothèque nationale du Brésil, la Bibliothèque nationale de Russie et la Bibliothèque d’Etat russe.
Le prototype fonctionne en arabe, chinois, anglais, français, russe et espagnol, les six langues officielles des Nations Unies, ainsi qu’en portugais. Sa navigation et son moteur de recherche sont organisés par lieu, date, sujet et institution concernée.
Le projet de Bibliothèque numérique mondiale a été conçu pour promouvoir la compréhension internationale et interculturelle, améliorer la qualité et la diversité du contenu culturel sur Internet et contribuer à l’éducation et à la recherche universitaire.
« Les bibliothèques sont des lieux clés pour assurer l’accès universel à l’information et pour construire des sociétés du savoir. », a déclaré le Directeur général de l’UNESCO, Koïchiro Matsuura. « Nous sommes très contents de poursuivre le développement de l’excellent partenariat que nous entretenons de longue date avec la Bibliothèque du Congrès en travaillant sur des méthodes innovantes pour préserver et rendre accessible la mémoire du monde ».
« Nous nous réjouissons de continuer et d’intensifier notre collaboration avec l’UNESCO, de travailler avec l’Organisation et son personnel afin de permettre aux bibliothèques, aux archives et aux musées du monde entier de nous rejoindre pour rendre leurs trésors culturels accessibles en ligne » », a déclaré M. Billington.
Selon les termes de l’accord, la Bibliothèque du Congrès et l’UNESCO vont coopérer en réunissant des groupes de travail d’experts et autres parties prenantes afin de développer des lignes directrices et des spécification techniques pour le projet, en recrutant de nouveaux partenaires et en obtenant des soutiens de sources publiques et privées.
L’un des aspects clés du projet est de donner la capacité aux pays en développement de créer des bibliothèques numériques, afin que tous les pays et toutes les régions puissent participer et figurer dans la Bibliothèque numérique mondiale.
Le projet poursuit un travail déjà mené par le Programme de l’UNESCO Mémoire du monde qui cherche à préserver le patrimoine documentaire. Ce patrimoine est le reflet de la diversité des langues, des peuples et des cultures et constitue le miroir du monde et sa mémoire. Mais cette mémoire est fragile ; chaque jour, des fragments irremplaçables disparaissent à jamais. L’UNESCO a lancé le Programme Mémoire du monde pour prévenir l’amnésie collective en contribuant à la conservation des archives et des collections des bibliothèques dans le monde et en s’assurant de leur large diffusion.
Fondée en 1800, la Bibliothèque du Congrès est la plus vieille institution fédérale des Etats-Unis d’Amérique, et la plus grande bibliothèque du monde, avec plus de 134 millions de documents dans plus de 450 langues. Ses collections sont de portée universelle et dans tous les formats existants.