Une étude intéressante sur l'âge et la productivité en recherche

Une étude intéressante sur l'âge et la productivité en recherche

Tout récemment, le journaliste universitaire Léo Charbonneau, rédacteur en chef adjoint au magazine Affaires universitaires, publiait, dans son blogue, un billet fort intéressant sur l'âge et la productivité en recherche.

En fait, monsieur Charbonneau nous invite à prendre connaissance d'une étude intitulée The Effects of Aging on Researchers’ Publication and Citation Patterns, étude dans laquelle on apprend que la productivité des scientifiques qui poursuivent activement leurs recherches atteint son point culminant à 50 ans, et qu’elle est maintenue jusqu’à la retraite et même jusqu’à l’âge de 70 ans.

L’étude en question nous apprend également que les noms des professeurs plus âgés ont tendance à se retrouver de moins en moins souvent en tête de la liste des auteurs dans les copublications.

Bref, la tour d’ivoire mythique du vieux professeur d’université grisonnant attendant sa retraite vient de s’écrouler et que les plus matures de nos professeurs-chercheurs québécois produisent bien davantage de recherches que leurs jeunes homologues.

Pour prendre connaissance de l'intégralité du billet de Léo Charbonneau, allez à l'adresse URL suivante :

www.affairesuniversitaires.ca/blog.aspx?id=5494&blogid=1866.

On y fait également référence à un article paru l’automne dernier dans Le Devoir présentant les résultats sous cet angle.

Bonne lecture!

[Source : http://benhur.teluq.uquebec.ca/~journal/2009_04/nouvelle4.html]