La ministre de Condition féminine Canada rappelle les mesures énergiques de lutte contre le crime et les ressources accrues consacrées à la lutte contre la violence faite aux femmes

La ministre de Condition féminine Canada rappelle les mesures énergiques de lutte contre le crime et les ressources accrues consacrées à la lutte contre la violence faite aux femmes

La ministre de Condition féminine Canada rappelle les mesures énergiques de lutte contre le crime et les ressources accrues consacrées à la lutte contre la violence faite aux femmes

Helena Guergis, ministre d'État (Condition féminine), a assisté aujourd'hui sur la Colline du Parlement au lancement de la campagne annuelle des Roses de la YWCA, visant à faire cesser la violence à l'endroit des femmes et des filles, et a donné le coup d'envoi aux 16 Jours d'activisme contre la violence faite aux femmes.

Le 25 novembre marque le début des 16 Jours d'activisme contre la violence faite aux femmes, qui culminent avec la Journée nationale de commémoration et d'action contre la violence faite aux femmes, célébrée le 6 décembre au Canada. Instituée en 1991 par le Parlement du Canada, cette journée commémore l'assassinat, en 1989, de 14 jeunes femmes tuées à l'École Polytechnique de Montréal parce qu'elles étaient des femmes.

"Aujourd'hui, les Canadiennes et les Canadiens sont invités à réfléchir aux innombrables femmes et filles partout dans le monde pour qui la violence et les menaces de violence sont une réalité quotidienne, a déclaré la ministre d'État Guergis. La violence faite aux femmes touche chacune et chacun de nous. Elle détruit des familles et des communautés et ne connaît aucune frontière sociale, économique, raciale ou géographique. Nous faisons face à la violence faite aux femmes dans notre milieu de travail, dans nos foyers et dans nos collectivités. Cette violence prend plusieurs formes : la violence familiale, la violence dirigée contre les femmes autochtones, les agressions sexuelles, le cyberharcèlement, le viol par une connaissance et les crimes ayant un fondement culturel, comme les mutilations génitales des femmes et les crimes d'honneur, de même que la traite des personnes. Nous devons pourtant appeler cette violence par son nom : de la violence faite aux femmes."

"L'élimination de la violence dirigée contre les femmes est la responsabilité de tous et chacun : ordres de gouvernement, corps policiers, système de justice, société civile et autres intervenants, a déclaré la ministre Guergis. Notre gouvernement a investi dans le maintien de l'ordre, la prévention de la criminalité juvénile, le durcissement des peines d'emprisonnement obligatoires pour les crimes sérieux commis avec des armes à feu, la lutte contre les crimes commis avec des armes à feu et le soutien aux victimes d'actes criminels. Notre objectif est de mettre fin au recours aux condamnations avec sursis, y compris la détention à domicile, pour les infractions graves, comme les crimes violents ou les crimes à caractère sexuel."

Le gouvernement du Canada a pris des mesures importantes pour mieux protéger la population canadienne des personnes susceptibles de commettre des crimes graves et renforcer la capacité du système de justice pénale.

Le Programme de promotion de la femme de Condition féminine Canada continue de financer des groupes communautaires partout au pays. Depuis 2007, par l'entremise de Condition féminine Canada, le gouvernement du Canada a soutenu 117 projets de lutte contre la violence faite aux femmes grâce à un financement total de 22 millions de dollars.

[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/November2009/25/c4851.html]