Bonnes pratiques en matière de gestion des âges de la vie

Bonnes pratiques en matière de gestion des âges de la vie

Source: 

Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP)

La présente étude propose une synthèse de bonnes pratiques en matière de gestion des âges de la vie (GDAV), recueillies auprès de nos homologues étrangers ou identifiées au travers d’un travail de recherche documentaire..

Si elle n’a pas pour objectif de formuler des recommandations, elle propose d’élargir la perspective en exposant des pratiques qui existent en dehors de la Fonction publique française, afin d’apporter un éclairage différent aux gestionnaires publics.

Les bonnes pratiques exposées ici sont issues aussi bien du secteur public que du secteur privé, en France et dans les pays suivants : Allemagne, Australie, Belgique, Canada (Province du Québec), Danemark, Etats-Unis, Finlande, Italie, Pays-Bas, Portugal, Suède, Suisse et Royaume-Uni.

En ce qui concerne les administrations publiques à l’étranger, les sources principales de cette étude ont été le rapport de l’Institut Européen d’Administration Publique (IEAP) sur « l’évolution démographique et son incidence sur la gestion des ressources humaines dans les secteurs publics européens »1 et le rapport de l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE), « Vieillissement et service public: le défi des ressources humaines ».

Pour ce qui est des bonnes pratiques observées dans le secteur privé, elles ont pour l’essentiel été puisées dans les études et rapports suivants : « Gérer les seniors : de l’âge à l’expérience » et « Managing Extending Working Life » d’Entreprise et Personnel; « Favoriser le maintien ou le retour à l’emploi des seniors » et « Plan emploi seniors : des PME en action » de Vigeo ; «15 propositions pour l’emploi des jeunes et des seniors » de l’Institut Montaigne et enfin le guide du cabinet d’expertise ARETE « Pouvoir travailler à tout âge ».

Le thème de la GDAV étant particulièrement propice à la diffusion de clichés, ce recueil est également l’occasion de pointer certains d’entre eux (celui du «  conflit intergénérationnel » prétendument inévitable ou du senior nécessairement voué à devenir tuteur par exemple), que l’on retrouve étonnamment assez souvent dans la documentation sur le sujet.