Violences sexuelles et conjugales : une rencontre productive et non partisane pour l’accompagnement des victimes

16 jan 2019

Violences sexuelles et conjugales : une rencontre productive et non partisane pour l’accompagnement des victimes

Québec, le 14 janvier 2019 - La ministre de la Justice, Madame Sonia LeBel, accompagnée des députées Hélène David, du Parti libéral du Québec, Véronique Hivon, du Parti québécois, et Christine Labrie, de Québec solidaire, ont tenu une réunion de travail productive et non partisane pour échanger sur l’ensemble des idées qui ont été discutées dans les dernières semaines afin de mettre de l’avant un accompagnement à visage humain des victimes de violences sexuelles et conjugales.

La ministre de la Justice a convenu de formaliser les discussions avec différents acteurs de la société, incluant des experts, des représentants des groupes de victimes ainsi que des acteurs communautaires et institutionnels qui étudieront et discuteront des meilleures mesures à mettre en place afin de mieux protéger et accompagner les victimes.

« Je suis enthousiaste d’avoir accueilli mes collègues pour discuter de ces enjeux importants. Cette réflexion mérite de s’élever au-dessus des considérations partisanes. Je compte travailler avec mes collègues et les nombreux intervenants qui marquent le parcours des victimes pour améliorer la situation. »
- Sonia LeBel, ministre de la Justice et ministre responsable de la Condition féminine

« Je suis très heureuse de cette première rencontre, laquelle a permis de discuter de l’ensemble des enjeux liés aux violences sexuelles et conjugales et de dégager de nombreux consensus. Nous allons nous mettre au travail avec rigueur et enthousiasme. »
- Hélène David, députée de Marguerite-Bourgeoys

« Il est urgent de rebâtir la confiance entre les victimes de violences sexuelles et conjugales et le système de justice. Comme élues, nous avons la responsabilité de trouver des moyens d’adapter le système à la réalité des victimes et non l’inverse. À cet égard, je me réjouis de l’ouverture de mes collègues à considérer l’idée d’un tribunal spécialisé pour y parvenir. »
- Véronique Hivon, députée de Joliette

« Je suis ravie de l’ouverture de mes collègues à envisager toutes les solutions pour mieux soutenir les victimes. Toutes étaient très sensibles à l’importance de travailler aussi en amont du processus judiciaire et d’impliquer les experts et les groupes représentant les victimes dans la réflexion. J’attends la suite avec impatience. »
- Christine Labrie, députée de Sherbrooke