Chaque automne depuis 1996, l’Association québécoise des organismes de coopération internationale (AQOCI) organise les Journées québécoises de la solidarité internationale (JQSI) avec l’appui du ministère des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur du Québec (MRIFCE). Lors de ce rendez-vous annuel, le public québécois est invité à participer à de nombreuses activités qui lui permettent de s’informer sur les enjeux actuels de la solidarité internationale. 

Au cours des 10 jours que dure l’événement, les membres de l’AQOCI organisent dans plusieurs régions du Québec des conférences, débats publics, projections de documentaires, activités culturelles, animations jeunesse, et plus encore.

Les organismes de coopération internationale membres de l’AQOCI ont choisi en 2013 d’inviter la population québécoise à échanger avec eux sur des enjeux qui préoccupent tout le monde : l’économie locale, l’éducation, l’égalité entre les femmes et les hommes, l’environnement, la justice sociale et la santé.

D’abord, parce que le réseau québécois de la solidarité internationale a développé une expertise depuis plus de 50 ans sur ces enjeux, tant dans les pays du Sud qu’au Québec en collaboration avec des organismes locaux.

Ensuite, parce que cette expertise est aujourd’hui menacée par le virage idéologique du gouvernement fédéral.

À SURVEILLER

Une brochure téléchargeable gratuitement pour mieux comprendre les enjeux de la thématique Faut se parler ;

Le mot de Geneviève Rochette, porte-parole des JQSI pour une deuxième année consécutive ;

Des clips vidéos : « On est 8 millions, faut se parler ! », « On est 35 millions, faut se parler » et « On est 7 milliards, faut se parler ! » ;

Des macarons aux couleurs des six « priorités » des JQSI à porter fièrement à la boutonnière… et sur sa photo de profil Facebook ! ;

Des gens inspirants, on en connaît : une galerie de portraits des personnalités des clips Faut se parler ;

Une consultation publique sur la création d’une Agence québécoise de la solidarité internationale (AQSI) et la possibilité d’écrire à son député-e provincial-e pour obtenir son appui à ce sujet ;

Une animation jeunesse destinée aux jeunes des quatre coins du Québec ;

Onze programmations régionales dont des rencontres entre des invité-es du Sud et des acteurs et actrices de la société civile québécoise.

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