Sous la présidence de Madame Nadia Rousseau, Ph. D., professeure, chercheuse, Titulaire de la Chaire de recherche Normand-Maurice, Université du Québec à Trois-Rivières

Tous les jours, nous posons une quantité considérable de gestes. Tantôt spontanés tantôt planifiés, ces gestes traduisent souvent notre façon d’agir et de réagir aux besoins manifestés par les jeunes qui nous sont confiés. Certes, les caractéristiques de notre milieu de travail, nos croyances, nos valeurs et nos expériences passées influencent nos gestes.

Fortement inspiré des besoins manifestés par les jeunes ayant des troubles d’apprentissage, le 39e Congrès annuel de l’AQETA offre l’occasion de réfléchir ensemble à ces gestes de même qu’à leur portée, dans un climat de collégialité.

Rappelons-le, nombreux sont ces jeunes qui nous parlent de l’importance qu’ils accordent aux gestes posés pour eux et avec eux dans leur histoire personnelle, que ce soit en milieu scolaire, en milieu de stage ou en milieu de travail.

En situation :

• de transition du préscolaire au primaire, du primaire au secondaire, du secondaire au postsecondaire, du milieu scolaire au monde du travail;
• de questionnement sur la valeur personnelle que les jeunes s’accordent eux-mêmes;
• d’incertitude relativement à leur sentiment de compétence à l’école, en stage ou au travail;
• de réflexion quant à leurs orientations de carrière ou à leurs compétences professionnelles;

Quels gestes peuvent faire la différence?

Que  nous soyons un acteur parental, communautaire, scolaire ou professionnel, toutes nos actions méritent que l’on s’y attarde, d’autant plus qu’elles doivent être porteuses de sens dans ce grand contexte qu’est l’éducation. Célébrons ces gestes. Apprenons les uns des autres. Continuons de faire une différence… de faire LA différence!

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