Panel - Mouvements sociaux de femmes noires, d'hier à aujourd'hui : engagement et pratiques

Date: 

27 Février 2021 - 09h30 - 12h30

Organisé par : 

Institut de recherches et d'études féministes (IREF)

Dans le cadre du cours FEM300A «Mouvements sociaux et réseaux féministes» offert à l'université du Québec à Montréal-IREF, et du Mois de l'Histoire des Noir-e-s, aura lieu un panel de discussion sur "les mouvements sociaux de femmes noires, d'hier à aujourd'hui: engagements et pratiques (Québec et Canada)."

Nous aurons le plaisir d'entendre les conférencières suivantes :

  • Jade Almeida, doctorante en sociologie et chargée de cours à l’UdeM;
  • Marlihan Lopez, coordonnatrice des programmes de 1er cycle et des stages pour la majeure en études interdisciplinaires en sexualité de l’Université de Concordia. Elle est également co-présidente de la Fédération des femmes du Québec, membre de Black Lives Matters-Montréal et membre-fondatrice de la Coalition pour définancer la police
  • Zab Maboungou, philosophe, chorégraphe, directrice artistique et fondatrice de la compagnie Zab Maboungou/Compagnie Danse Nyata Nyata située à Montréal;
  • Alexandra Pierre, coordonnatrice de projet à Relais-Femmes et présidente de la Ligue des droits et libertés.

Ouvert à tous & toutes sur inscription.

Lien d'inscription : https://uqam.zoom.us/meeting/register/tZMtduivqjwpGtMgMd10AZQi0iU4YP8NnZiT

Pour toutes informations ou obtenir le lien de connexion Zoom, veuillez écrire avant l'événement à: issa.amira@courrier.uqam.ca ou alimi.sonia@courrier.uqam.ca .

Après votre inscription, vous recevrez un courriel de confirmation contenant les instructions pour rejoindre la conférence.

Nous reconnaissons que cet événement se déroulera en territoire autochtone non cédé et que la nation Kanien'kehá:ka est la gardienne des terres et des eaux où nous nous réunirons. Tio’tia:ke (ou Montréal) est historiquement reconnu comme lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations, et aujourd’hui une population autochtone diversifiée, ainsi que d’autres peuples, y réside.

C’est dans le respect des liens avec le passé, le présent et l’avenir que nous reconnaissons les relations continues entre les peuples autochtones et autres peuples de la communauté montréalaise.

Il est nécessaire d’exprimer dans le cadre de cette conférence, notre solidarité envers les communautés autochtones locales et mondiales qui luttent pour leur droit au pouvoir, à la terre, aux ressources et à la sécurité. Mentionnons donc les 11 nations autochtones qui ont résisté et résistent encore au niveau local : le peuple Abénakis, le peuple Algonquins, le peuple Attikameks, le peuple Cris, le peuple Hurons, le peuple Inuits, le peuple Malecites, le peuple Micmacs, le peuple, le peuple Innu, le peuple Naskapis.