Éduconnexion en collaboration avec le Réseau pour la paix et l'harmonie sociale  ainsi que Sisterhood vous convie au symposium intitulé : Et si la violence était perçue comme un enjeu de santé publique?  le samedi 25 novembre 2023 de 11h à 18h au Ausgang Plaza situé au 6524 Rue St-Hubert, Montréal, QC H2S 2M3.

Comprendre, Prévenir et Agir ensemble

La violence sous toutes ses formes, qu'elle soit physique, psychologique ou verbale, a un impact profond sur la santé des individus, des familles et des communautés et le temps est venu de reconnaître la violence comme un enjeu urgent de santé publique et d'agir ensemble pour mieux la comprendre, la prévenir et y remédier.

À quoi s’attendre ?

Ce symposium d’une journée réunira, au sein d’un panel, divers expert.e.s et intervenant.e.s engagé.e.s auprès des communautés dont la Dre. Alicia Boatswain-Kyte travailleuse sociale et assistante professeur à l’université  MCGILL, la Dre. Cécile Rousseau Professeure titulaire au département de psychiatrie à l’université MCGILL , la directrice de projets en santé mentale positive de l’Association de la santé publique, Safiétou Sakala, l’intervenante sociojudiciaire Marielle Sanon et la cheffe d’équipe d’intervention Olivia Stroz-Breton d'Équijustice, la directrice générale de l’AFPAD (Association des familles des personnes assassinées et disparues) Anie Samson, la consultante en pratique de TraumaInformedCare &Wellness Rosetta Sowkey, le président de l’organisme Lakay, Pierre Richard Thomas, le professeur d’université et franc activiste sur les dynamiques raciales Ted Rutland ainsi que Maïtée Labrecque-Saganash, militante Crie pour les droits des  peuples Autochtones.

Nous aurons également l’honneur d’assister à la précieuse intervention de madame Ronide Casséus et monsieur Roberson Berlus, parents de Jayson Colin, victime de meurtre à Montréal le 10 août 2022. Nous saluons et soulignons leur courage d’être les porte-voix des familles ayant perdu un.e proche dans cet atroce fléau qu’est la violence.

L’après-midi sera consacré à des tables de discussions, en plus d’un atelier sur les violences basées sur le genre par Marlihan Lopez, cofondatrice de l’organisme Afrofeministe Harambec et coordinatrice de programme à l'Institut de Simone de Beauvoir ainsi que Missanka Mupessi, éducatrice en matière de santé sexuelle