Impacts de l’usage des TICE au collégial

Impacts de l’usage des TICE au collégial

Source: 

Réseau d’information pour la réussite éducative (RIRE). Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec (CTREQ)

« Guy Béliveau a réalisé à l’hiver dernier une étude sur les TICE.  Ayant pour objectif de se dégager des discours impressionnistes sur les TICE que l’on peut entendre de part et d’autre, il a analysé les études scientifiques sur le sujet. »

Introduction
Dans le cadre d’un projet de recherche et de développement pédagogique, réalisé au cours de la session d’hiver 2011, le problème de l’impact des TICE au collégial a été examiné. Au début de la recherche, c’est l’existence démontrable ou non d’un lien causal entre l’usage des TICE par les enseignants et le taux de réussite des élèves qui a d’abord retenu l’attention.

Le chercheur de l’ARC, Christian Barrette, a produit depuis 2004 de nombreux articles très rigoureux sur ce lien : voilà pourquoi, dans le présent rapport, ses travaux occuperont une large part. Barrette lui-même en est venu à centrer son attention moins sur la construction d’un modèle de causalité que sur une redéfinition de la problématique axée sur la pédagogie. La question fondamentale devient celle-ci : quelles sont les conditions d’une intégration réussie des TICE ?
Quand la stratégie pédagogique de l’utilisateur des nouvelles technologies devient le point focal des efforts de réflexion, la méthode socioconstructiviste semble avoir la faveur chez de  nombreux chercheurs. D’ailleurs, le rapport se conclura sur ce qu’il est convenu d’appeler « la salle de classe au 21e siècle », nouveau développement pédagogique, d’inspiration socioconstructiviste, centré sur l’apprentissage actif et collaboratif (active learning), où des connaissances sont construites par chaque élève grâce à une participation dynamique aux travaux avec les pairs. Tout porte à croire que les prochaines orientations du MELS, à l’égard des collèges, pourraient aller dans cette direction.

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