La tradition philosophique autochtone offre aux QuébécoisEs une réflexion fort intéressante sur la quête d’une vie bonne. Cette philosophie s’intéresse autant au bien-être des individuEs que des communautés et des peuples. Ce cours vise à créer un espace pour repenser les relations entre les femmes autochtones et non-autochtones. Il cherche aussi à souligner le rôle et les responsabilités des femmes non-autochtones dans le colonialisme et le néocolonialisme qui sont à l’origine des crises identitaires et sociales actuelles des peuples autochtones. Quels sont les moyens pour lutter contre ces idéologies à l’intérieur du mouvement féministe ? Comment le mouvement féministe peut-il participer à la construction d’une relation égalitaire entre les peuples ?