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Cet article s'intéresse plus particulièrement aux ordonnances restrictives et leurs limites face au développement des communications numériques. Bien que les injonctions aient évolué pour inclure les contacts via les réseaux sociaux comme Facebook, Twitter ou encore Instagram, cet article démontre l'existence d'angles morts dans la protection des survivantes. Interdire les contacts directs n'est donc plus suffisant lorsque des applications permettent de maintenir une certaine surveillance des faits et gestes d'autrui ou encore lorsque les algorithmes automatisent le maintien des contacts dans un cercle de connaissances communes.
L'article propose ainsi des exemples spécifiques du danger que représentent les applications, ainsi que des témoignages d'accompagnatrices et accompagnateurs de survivant.e.s.
Cet article est en anglais sur le site de l'Atlantic où seuls 5 articles par mois sont accessibles gratuitement.
Date de mise à jour : 11 juillet 2018