16 jours pour s'approprier les TIC contre la violence à l'égard des femmes
16 jours pour s'approprier les TIC contre la violence à l'égard des femmes
Les TIC peuvent représenter un danger pour les femmes, mais elles peuvent aussi être des outils efficaces de lutte contre la violence faite à ces dernières. C’est dans cette optique que se déroule, du 25 novembre au 10 décembre 2009, la troisième édition de Tech sans violence, une campagne d'actions numériques visant à s'approprier les technologies de l'information et des communications (TIC) afin de prévenir et de mettre un terme à la violence envers les femmes.
Durant la campagne, des actions seront proposées pour sensibiliser les femmes et les hommes à la problématique et les inviter à poser des gestes concrets. L’objectif est de leur faire prendre conscience de l'étendue du problème, de les amener à partager avec leurs pairs leur vision sur le sujet, et ce, afin notamment de se libérer, de s'affirmer, de prendre position et de disséminer l'information.
S'inscrivant également dans la programmation de la campagne québécoise des 12 jours d'action pour l'élimination de la violence envers les femmes, le collectif derrière la campagne Tech sans violence animera un atelier sur l'utilisation sécuritaire des TIC lors du colloque international La tuerie de l’École Polytechnique 20 ans plus tard – Les violences masculines contre les femmes et les féministes. Présenté le 4 décembre, l'atelier Utiliser les technologies de l’information pour prévenir la violence sera animé par Marie-Ève Deguire, de Communautique, et par Katherine Macnaughton-Osler, militante.
À propos de Tech sans violence
techsansviolence.net a été initié par le Programme d’appui aux réseaux de femmes de l'Association pour le progrès des communications (PARF d’APC), un réseau international de femmes provenant de plus de 35 pays et réunies par leur engagement en faveur du changement social et de l'autonomisation des femmes par le biais de l'appropriation des TIC. Au Québec, l'APC s'est associée à Alternatives, Communautique, Cybersolidaires, L'R des centres de femmes du Québec, Parole citoyenne, au Réseau international des femmes de l'Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires (AMARC-RIF), à Stella, l'amie de Maimie, de même qu'à des femmes et des hommes dévoués, afin de mettre sur pied et d'animer une campagne ouverte à toutes et tous les francophones qui désirent s'exprimer au sujet du lien entre les TIC et la violence faite aux filles et aux femmes.
Les TIC peuvent représenter un danger pour les femmes, mais elles peuvent aussi être des outils efficaces de lutte contre la violence faite à ces dernières. C’est dans cette optique que se déroule, du 25 novembre au 10 décembre 2009, la troisième édition de Tech sans violence, une campagne d'actions numériques visant à s'approprier les technologies de l'information et des communications (TIC) afin de prévenir et de mettre un terme à la violence envers les femmes.
Durant la campagne, des actions seront proposées pour sensibiliser les femmes et les hommes à la problématique et les inviter à poser des gestes concrets. L’objectif est de leur faire prendre conscience de l'étendue du problème, de les amener à partager avec leurs pairs leur vision sur le sujet, et ce, afin notamment de se libérer, de s'affirmer, de prendre position et de disséminer l'information.
S'inscrivant également dans la programmation de la campagne québécoise des 12 jours d'action pour l'élimination de la violence envers les femmes, le collectif derrière la campagne Tech sans violence animera un atelier sur l'utilisation sécuritaire des TIC lors du colloque international La tuerie de l’École Polytechnique 20 ans plus tard – Les violences masculines contre les femmes et les féministes. Présenté le 4 décembre, l'atelier Utiliser les technologies de l’information pour prévenir la violence sera animé par Marie-Ève Deguire, de Communautique, et par Katherine Macnaughton-Osler, militante.
À propos de Tech sans violence
techsansviolence.net a été initié par le Programme d’appui aux réseaux de femmes de l'Association pour le progrès des communications (PARF d’APC), un réseau international de femmes provenant de plus de 35 pays et réunies par leur engagement en faveur du changement social et de l'autonomisation des femmes par le biais de l'appropriation des TIC. Au Québec, l'APC s'est associée à Alternatives, Communautique, Cybersolidaires, L'R des centres de femmes du Québec, Parole citoyenne, au Réseau international des femmes de l'Association mondiale des radiodiffuseurs communautaires (AMARC-RIF), à Stella, l'amie de Maimie, de même qu'à des femmes et des hommes dévoués, afin de mettre sur pied et d'animer une campagne ouverte à toutes et tous les francophones qui désirent s'exprimer au sujet du lien entre les TIC et la violence faite aux filles et aux femmes.