Guatemala - Une syndicaliste Delfina Vicente Yac et ses conseillers juridiques menacés
(ENVOYEZ VOS APPELS AVANT LE 02 JUILLET 2010.)
Une femme enceinte qui travaille dans une usine de vêtements a été menacée et a subi des pressions visant à l’obliger à quitter son travail ou le syndicat dont elle fait partie. Les avocats qui la conseillent ont été suivis et quelqu’un a pénétré dans leur cabinet après une conférence de presse au cours de laquelle ont été dénoncés les actes d'intimidation dont sont victimes certains syndicalistes.
Le 21 avril, Delfina Vicente Yac, secrétaire de direction du syndicat de l’usine de vêtements où elle travaille à Guatemala, a été convoquée par l’un des dirigeants de la société. Au cours de l’entretien, celui-ci a tenté de persuader Delfina Vicente Yac soit de démissionner, soit de quitter le syndicat, et lui a dit : « il vaut mieux que vous quittiez le Comité, pourquoi risquer votre vie avec ça ? ». Ce responsable a de nouveau convoqué Delfina Vicente Yac le 22 avril et a cette fois encore essayé de la persuader de quitter son travail en affirmant : « Votre vie est en danger […] on va vous hacher menue ».
Pour lire la suite : http://www.amnistie.ca/content/view/14566/253/
Pour télécharger la lettre-modèle: http://www.amnistie.ca/images/stories/section_agir/a_vos_plumes/guatemala8.doc
Une femme enceinte qui travaille dans une usine de vêtements a été menacée et a subi des pressions visant à l’obliger à quitter son travail ou le syndicat dont elle fait partie. Les avocats qui la conseillent ont été suivis et quelqu’un a pénétré dans leur cabinet après une conférence de presse au cours de laquelle ont été dénoncés les actes d'intimidation dont sont victimes certains syndicalistes.
Le 21 avril, Delfina Vicente Yac, secrétaire de direction du syndicat de l’usine de vêtements où elle travaille à Guatemala, a été convoquée par l’un des dirigeants de la société. Au cours de l’entretien, celui-ci a tenté de persuader Delfina Vicente Yac soit de démissionner, soit de quitter le syndicat, et lui a dit : « il vaut mieux que vous quittiez le Comité, pourquoi risquer votre vie avec ça ? ». Ce responsable a de nouveau convoqué Delfina Vicente Yac le 22 avril et a cette fois encore essayé de la persuader de quitter son travail en affirmant : « Votre vie est en danger […] on va vous hacher menue ».
Pour lire la suite : http://www.amnistie.ca/content/view/14566/253/
Pour télécharger la lettre-modèle: http://www.amnistie.ca/images/stories/section_agir/a_vos_plumes/guatemala8.doc