Le comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes se réunit à Genève du 17 janvier au 4 février
Tiré d’un communiqué par l'Office des Nations Unies à Genève
Le Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes examine les rapports qui lui sont soumis par sept pays au titre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. Il s'agit, dans l'ordre chronologique d'examen, des rapports d'Israël, du Kenya, du Liechtenstein, de l'Afrique du Sud, du Bangladesh, de Sri Lanka et du Bélarus.
Composé de 23 experts siégeant à titre individuel, le Comité a été créé pour surveiller la mise en œuvre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. La Convention, entrée en vigueur en 1981, compte 186 États parties, qui doivent présenter des rapports au Comité sur sa mise en œuvre.
Le Comité a entendu, cet après-midi, plusieurs organisations non gouvernementales qui ont fourni des renseignements concernant la situation des femmes en Israël, au Liechtenstein, au Kenya et en Afrique du Sud, quatre pays dont les rapports seront examinés cette semaine.
Israël
L'attention a été attirée sur les conditions de vie des femmes travaillant dans le secteur de la santé, une intervenante estimant que leurs conditions de travail sont assimilables à des formes d'esclavage. Une autre représentante a dénoncé les dispositions du droit de la famille israélien consacrant l'inégalité des femmes dans le domaine de la famille, l'application de principes religieux entraînant des discriminations contre les femmes juives au moment du divorce et s'agissant de la garde des enfants.
Kenya
Des organisations non gouvernementales ont attiré l'attention sur la situation dans les bidonvilles, où le risque de maladies est élevé du fait des conditions insalubres ainsi que le risque de violence et de violence sexuelle contre les femmes et jeunes filles.
Liechtenstein
Une organisation non gouvernementale a jugé urgente l'adoption de mesures contre les auteurs de violence familiale, estimant que cette forme de violence doit être poursuivie d'office par les autorités, comme l'a recommandé au pays le Conseil des droits de l'homme dans le cadre de l'Examen périodique universel.
Afrique du Sud
Une organisation non gouvernementale a souligné que les inégalités sont ancrées dans des pratiques coutumières discriminatoires, s'agissant du mariage par exemple. Les femmes ne sont pas aidées par la loi ni par les tribunaux à s'émanciper ni à échapper aux violences, parfois fatales, perpétrées par des hommes.
> Pour en savoir plus
[ Source : http://www.unog.ch/unog/website/news_media.nsf/%28httpNewsByYear_en%29/87AE2293CF804E37C125781B0051228F?OpenDocument ]
Le Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes examine les rapports qui lui sont soumis par sept pays au titre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. Il s'agit, dans l'ordre chronologique d'examen, des rapports d'Israël, du Kenya, du Liechtenstein, de l'Afrique du Sud, du Bangladesh, de Sri Lanka et du Bélarus.
Composé de 23 experts siégeant à titre individuel, le Comité a été créé pour surveiller la mise en œuvre de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. La Convention, entrée en vigueur en 1981, compte 186 États parties, qui doivent présenter des rapports au Comité sur sa mise en œuvre.
Le Comité a entendu, cet après-midi, plusieurs organisations non gouvernementales qui ont fourni des renseignements concernant la situation des femmes en Israël, au Liechtenstein, au Kenya et en Afrique du Sud, quatre pays dont les rapports seront examinés cette semaine.
Israël
L'attention a été attirée sur les conditions de vie des femmes travaillant dans le secteur de la santé, une intervenante estimant que leurs conditions de travail sont assimilables à des formes d'esclavage. Une autre représentante a dénoncé les dispositions du droit de la famille israélien consacrant l'inégalité des femmes dans le domaine de la famille, l'application de principes religieux entraînant des discriminations contre les femmes juives au moment du divorce et s'agissant de la garde des enfants.
Kenya
Des organisations non gouvernementales ont attiré l'attention sur la situation dans les bidonvilles, où le risque de maladies est élevé du fait des conditions insalubres ainsi que le risque de violence et de violence sexuelle contre les femmes et jeunes filles.
Liechtenstein
Une organisation non gouvernementale a jugé urgente l'adoption de mesures contre les auteurs de violence familiale, estimant que cette forme de violence doit être poursuivie d'office par les autorités, comme l'a recommandé au pays le Conseil des droits de l'homme dans le cadre de l'Examen périodique universel.
Afrique du Sud
Une organisation non gouvernementale a souligné que les inégalités sont ancrées dans des pratiques coutumières discriminatoires, s'agissant du mariage par exemple. Les femmes ne sont pas aidées par la loi ni par les tribunaux à s'émanciper ni à échapper aux violences, parfois fatales, perpétrées par des hommes.
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[ Source : http://www.unog.ch/unog/website/news_media.nsf/%28httpNewsByYear_en%29/87AE2293CF804E37C125781B0051228F?OpenDocument ]