Le décompte est terminé, les travailleuses peuvent maintenant se prévaloir de leurs droits
Communiqué
MONTRÉAL, le 18 janv. 2011 /CNW Telbec/ - La nouvelle présidente de la Commission de l'équité salariale (CES), madame Marie Rinfret, a donné le coup d'envoi aujourd'hui, à Montréal, d'une vaste campagne d'information visant à sensibiliser les travailleuses du Québec afin qu'elles puissent se prévaloir de leur droit à l'équité salariale.
« Le décompte est terminé pour les employeurs, et les travailleuses ont maintenant la responsabilité de s'informer afin de s'assurer que leur droit à l'équité salariale est respecté. Pour les accompagner, elles peuvent compter sur la Commission de l'équité salariale. Aujourd'hui plus que jamais, l'égalité entre les sexes et l'équité salariale qui en découle sont intégrées dans nos valeurs collectives, dans le tissu social du Québec, qui ne tolère plus la discrimination, fut-elle involontaire », a déclaré madame Marie Rinfret.
Depuis le 1er janvier dernier, les travailleuses peuvent déposer une plainte en toute confidentialité à la Commission de l'équité salariale si elles croient que leurs droits ne sont pas respectés par leur employeur. Elles ont jusqu'au 30 mai 2011 pour porter plainte et récupérer tous les montants dus avec pleine rétroactivité, les intérêts au taux légal et l'indemnité additionnelle. Après cette date, l'ajustement salarial ne pourra rétroagir que sur les cinq dernières années.
Rappelons que tous les employeurs dont l'entreprise compte dix personnes salariées ou plus devaient réaliser leur exercice d'équité salariale ou l'évaluation de son maintien au plus tard le 31 décembre 2010.
Au cours des prochains mois, la Commission de l'équité salariale mettra en place une panoplie d'outils de communication afin de sensibiliser les travailleuses à l'importance de se prévaloir de leurs droits en vertu de la Loi sur l'équité salariale. Ainsi, une importante campagne publicitaire sera déployée à la radio, à la télévision spécialisée, dans les médias écrits, dans Internet, dans le transport en commun. Par ailleurs, au cours des prochaines semaines, la présidente visitera plusieurs régions du Québec pour rencontrer les travailleuses.
« Nous avons multiplié les actions et nous continuerons sans relâche notre travail au fil des prochaines semaines afin que l'équité salariale devienne une réalité dans toutes les entreprises du Québec. L'équité salariale est un droit non négociable et fondamental qui s'inscrit dans les valeurs de la société québécoise et qui doit s'incarner dans la vie de tous les jours pour toutes les travailleuses du Québec. C'est une question de justice et de bon sens », a ajouté la présidente de la Commission de l'équité salariale.
La Loi sur l'équité salariale oblige un employeur dont l'entreprise compte dix personnes salariées ou plus à réaliser un exercice d'équité salariale pour vérifier s'il subsiste une discrimination entre les emplois exercés par des hommes et ceux traditionnellement exercés par des femmes. L'équité salariale vise donc à accorder un salaire égal pour un travail différent mais équivalent. Si un écart salarial existe, l'employeur doit déterminer les ajustements salariaux nécessaires, puis les verser. Par la suite, l'employeur doit vérifier tous les cinq ans si l'équité salariale est maintenue dans son entreprise.
La Commission de l'équité salariale invite les travailleuses à s'informer en visitant son site Web www.ces.gouv.qc.ca, à écrire par courriel à l'adresse suivante : equite.salariale@ces.gouv.qc.ca, ou à téléphoner du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h de partout au Québec à ce numéro sans frais : 1 888 528-8765.
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/January2011/18/c3310.html]
MONTRÉAL, le 18 janv. 2011 /CNW Telbec/ - La nouvelle présidente de la Commission de l'équité salariale (CES), madame Marie Rinfret, a donné le coup d'envoi aujourd'hui, à Montréal, d'une vaste campagne d'information visant à sensibiliser les travailleuses du Québec afin qu'elles puissent se prévaloir de leur droit à l'équité salariale.
« Le décompte est terminé pour les employeurs, et les travailleuses ont maintenant la responsabilité de s'informer afin de s'assurer que leur droit à l'équité salariale est respecté. Pour les accompagner, elles peuvent compter sur la Commission de l'équité salariale. Aujourd'hui plus que jamais, l'égalité entre les sexes et l'équité salariale qui en découle sont intégrées dans nos valeurs collectives, dans le tissu social du Québec, qui ne tolère plus la discrimination, fut-elle involontaire », a déclaré madame Marie Rinfret.
Depuis le 1er janvier dernier, les travailleuses peuvent déposer une plainte en toute confidentialité à la Commission de l'équité salariale si elles croient que leurs droits ne sont pas respectés par leur employeur. Elles ont jusqu'au 30 mai 2011 pour porter plainte et récupérer tous les montants dus avec pleine rétroactivité, les intérêts au taux légal et l'indemnité additionnelle. Après cette date, l'ajustement salarial ne pourra rétroagir que sur les cinq dernières années.
Rappelons que tous les employeurs dont l'entreprise compte dix personnes salariées ou plus devaient réaliser leur exercice d'équité salariale ou l'évaluation de son maintien au plus tard le 31 décembre 2010.
Au cours des prochains mois, la Commission de l'équité salariale mettra en place une panoplie d'outils de communication afin de sensibiliser les travailleuses à l'importance de se prévaloir de leurs droits en vertu de la Loi sur l'équité salariale. Ainsi, une importante campagne publicitaire sera déployée à la radio, à la télévision spécialisée, dans les médias écrits, dans Internet, dans le transport en commun. Par ailleurs, au cours des prochaines semaines, la présidente visitera plusieurs régions du Québec pour rencontrer les travailleuses.
« Nous avons multiplié les actions et nous continuerons sans relâche notre travail au fil des prochaines semaines afin que l'équité salariale devienne une réalité dans toutes les entreprises du Québec. L'équité salariale est un droit non négociable et fondamental qui s'inscrit dans les valeurs de la société québécoise et qui doit s'incarner dans la vie de tous les jours pour toutes les travailleuses du Québec. C'est une question de justice et de bon sens », a ajouté la présidente de la Commission de l'équité salariale.
La Loi sur l'équité salariale oblige un employeur dont l'entreprise compte dix personnes salariées ou plus à réaliser un exercice d'équité salariale pour vérifier s'il subsiste une discrimination entre les emplois exercés par des hommes et ceux traditionnellement exercés par des femmes. L'équité salariale vise donc à accorder un salaire égal pour un travail différent mais équivalent. Si un écart salarial existe, l'employeur doit déterminer les ajustements salariaux nécessaires, puis les verser. Par la suite, l'employeur doit vérifier tous les cinq ans si l'équité salariale est maintenue dans son entreprise.
La Commission de l'équité salariale invite les travailleuses à s'informer en visitant son site Web www.ces.gouv.qc.ca, à écrire par courriel à l'adresse suivante : equite.salariale@ces.gouv.qc.ca, ou à téléphoner du lundi au vendredi de 8 h 30 à 17 h de partout au Québec à ce numéro sans frais : 1 888 528-8765.
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/January2011/18/c3310.html]