Le 8 mars, continuons de lutter pour préserver la sécurité des femmes
Cher(e)s ami(e)s
Ce 8 mars marquera le 100ème anniversaire de la Journée internationale de la femme. Il s'agit d'une opportunité pour souligner les réalisations sociales, politiques et économiques des femmes, mais aussi d'une occasion pour promouvoir une compréhension des défis auxquels elles font toujours face. Un de ces défis est la lutte continue pour préserver le droit des femmes à la sécurité.
Lorsqu'elles sont disponibles et accessibles, les armes à feu sont trop souvent utilisées comme outil d'intimidation et de menace, il s'agit d'une forme de violence pernicieuse qui touche des centaines de femmes au Québec. Les « armes familiales » telles que les carabines et fusils de chasse sont les armes à feu les plus fréquemment utilisées dans la violence conjugale. Les expert(e)s en sécurité des femmes sont unanimes, les lois canadiennes règlementant les armes à feu sont primordiales afin d'assurer la sécurité des femmes et des enfants.
En dépit du fait que notre législation sur les armes à feu ait démontré qu'elle contribuait à assurer la sécurité des femmes, le gouvernement conservateur a juré qu'il mettra un terme définitif à l'obligation d'enregistrer 6,8 million d'armes à feu sans restriction (carabines, fusils de chasse et certains fusils de tireur d'élite). En septembre dernier, la Chambre des communes a voté de justesse pour la mise au rancart de leur dernier projet de loi à cet effet. Le gouvernement vient tout juste d'annoncer qu'il compte renouveler pour la 5ème fois l'amnistie protégeant les propriétaires d'armes à feu qui ne se sont pas souciés d'enregistrer leurs armes ou de renouveler leur permis, ce qui aura pour effet d'exacerber la dégradation des données du registre des armes à feu.
Des actions concrètes doivent être prises
Aidez à protéger la Loi sur les armes à feu en 4 étapes simples:
Un contrôle efficace des armes à feu est un pas en avant dans la lutte pour contrer la violence faite aux femmes:
Des groupes de femmes partout au pays continuent de s'opposer aux tentatives de nuire à l'intégrité et à l'efficacité de la Loi, incluant la Fédération des femmes du Québec, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, l'AFEAS, L'R des centres de femmes du Québec, le Cercles des fermières du Québec, la Coalition des conseils consultatifs provinciaux et territoriaux de la condition féminine, le YWCA du Canada, le Conseil national des femmes du Canada, et plusieurs autres encore.
Merci beaucoup pour votre aide et votre appui!
Ce 8 mars marquera le 100ème anniversaire de la Journée internationale de la femme. Il s'agit d'une opportunité pour souligner les réalisations sociales, politiques et économiques des femmes, mais aussi d'une occasion pour promouvoir une compréhension des défis auxquels elles font toujours face. Un de ces défis est la lutte continue pour préserver le droit des femmes à la sécurité.
Lorsqu'elles sont disponibles et accessibles, les armes à feu sont trop souvent utilisées comme outil d'intimidation et de menace, il s'agit d'une forme de violence pernicieuse qui touche des centaines de femmes au Québec. Les « armes familiales » telles que les carabines et fusils de chasse sont les armes à feu les plus fréquemment utilisées dans la violence conjugale. Les expert(e)s en sécurité des femmes sont unanimes, les lois canadiennes règlementant les armes à feu sont primordiales afin d'assurer la sécurité des femmes et des enfants.
En dépit du fait que notre législation sur les armes à feu ait démontré qu'elle contribuait à assurer la sécurité des femmes, le gouvernement conservateur a juré qu'il mettra un terme définitif à l'obligation d'enregistrer 6,8 million d'armes à feu sans restriction (carabines, fusils de chasse et certains fusils de tireur d'élite). En septembre dernier, la Chambre des communes a voté de justesse pour la mise au rancart de leur dernier projet de loi à cet effet. Le gouvernement vient tout juste d'annoncer qu'il compte renouveler pour la 5ème fois l'amnistie protégeant les propriétaires d'armes à feu qui ne se sont pas souciés d'enregistrer leurs armes ou de renouveler leur permis, ce qui aura pour effet d'exacerber la dégradation des données du registre des armes à feu.
Des actions concrètes doivent être prises
Aidez à protéger la Loi sur les armes à feu en 4 étapes simples:
- Cette année, intégrez un élément en lien avec le contrôle des armes à votre activité soulignant la Journée de la femme.
- Distribuez notre prospectus au sein de vos réseaux à titre de rappel sur l'importance de préserver nos acquis en matière de contrôle des armes. Vous pouvez également afficher un hyperlien vers notre prospectus sur votre site Internet ou dans les médias sociaux.
- Appelez au 1-800-O-Canada ou visitez www.parl.gc.ca (et encouragez votre entourage à faire de même) pour trouver les coordonnées de votre député(e) afin de lui témoigner votre appui au contrôle des armes.
- Gardez en tête le contrôle des armes lorsque vous voterez aux prochaines élections. Le Parti conservateur est le seul parti qui s'est engagé à affaiblir les lois régissant le contrôle des armes.
Un contrôle efficace des armes à feu est un pas en avant dans la lutte pour contrer la violence faite aux femmes:
- TOUTES les armes à feu sont meurtrières; elles doivent TOUTES faire l'objet d'une règlementation visant à responsabiliser leurs propriétaires.
- Les données sont claires : le contrôle des armes à feu fonctionne. Depuis 1995, avec l'entrée en vigueur de la Loi sur les armes à feu, le taux d'homicides de femmes par armes à feu a chuté.
- Le registre des armes est largement soutenu par les groupes de femmes, les policier(e)s, les expert(e)s en santé et sécurité publique et en prévention du crime, les défenseurs de victimes ainsi que de nombreux(ses) citoyen(ne)s.
- La majorité des Québécoises et Québécois appuient le registre, même en régions rurales, où la présence d'armes d'épaule est plus répandue. Quoiqu'elle se fasse moins entendre, la majorité des femmes en régions appuie le registre.
Des groupes de femmes partout au pays continuent de s'opposer aux tentatives de nuire à l'intégrité et à l'efficacité de la Loi, incluant la Fédération des femmes du Québec, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, l'AFEAS, L'R des centres de femmes du Québec, le Cercles des fermières du Québec, la Coalition des conseils consultatifs provinciaux et territoriaux de la condition féminine, le YWCA du Canada, le Conseil national des femmes du Canada, et plusieurs autres encore.
Merci beaucoup pour votre aide et votre appui!