Les agressions sexuelles, c'est non!
Source:
http://www.rqcalacs.qc.ca/
Montréal, le lundi 12 septembre 2011 – Le Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS) est fier d’annoncer le lancement de sa toute première campagne de sensibilisation sur le web. L’organisme souligne ainsi la 30e édition de la Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes, qui aura lieu le vendredi 16 septembre.
Le RQCALACS, dans les trois capsules qu’il a conçues et produites, adopte une approche tournée vers l’espoir. « Nous interpellons les hommes pour qu’ils refusent d’être complices de la violence sexuelle faite aux femmes. En fait, puisqu’il s’agit d’un problème de société, nous voulons lancer le message qu’il faut agir ensemble, hommes et femmes, pour lutter contre la violence. Nous sommes tous concernés », explique Rosa Pires, porte-parole du RQCALACS. De même, la campagne cherche à contrer le sentiment de culpabilité très souvent vécu par les victimes. « Trop de campagnes de sensibilisation s’adressant aux femmes et aux jeunes tendent à les responsabiliser en leur prêchant la prudence ou en mettant l’accent sur le seul geste de dénoncer. Nous souhaitons responsabiliser les agresseurs et inverser la tendance », ajoute Rosa Pires.
« Notre campagne montre différents visages de la violence sexuelle, comme l’inceste et les drogues du viol. Nous avons aussi mis en scène une dame âgée victime d’attouchements par un préposé, parce que cela arrive malheureusement, et ce partout dans le monde», affirme Karine Tremblay, également porte-parole du Regroupement. Si, dans les deux tiers des cas déclarés à la police, les victimes ont moins de 18 ans, l’autre tiers représente des adultes de tous âges, principalement des femmes. « On croit que certaines femmes, jugées peu attirantes, sont à l’abri de la violence sexuelle. Et, dans le cas des femmes sexy, on les accuse de « provoquer » les agresseurs. Avec cette campagne, nous voulons défaire ces préjugés », renchérit Karine Tremblay.
Le Regroupement invite les internautes à regarder les capsules sur son site internet, puis à les diffuser sur les réseaux sociaux. À l’occasion de la 30e Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes, les CALACS aux quatre coins du Québec organisent des activités pour souligner cette journée. « S’’impliquer comme citoyen ou citoyenne qui refuse la violence faite aux femmes, partout dans le monde, peut se traduire par un geste simple : Diffuser des outils de sensibilisation et participer à des activités pour manifester votre solidarité envers toutes les femmes victimes de violence sexuelle. Ce sont de petits gestes d’espoir», conclut Rosa Pires.
- 30 -
Pour information : Rosa Pires ou Karine Tremblay, 514 529-5252; cellulaire 514 346-5252
Pour visionner les capsules de sensibilisation, et pour connaître les coordonnées des CALACS : www.rqcalacs.qc.ca
Source : Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)
Le RQCALACS, dans les trois capsules qu’il a conçues et produites, adopte une approche tournée vers l’espoir. « Nous interpellons les hommes pour qu’ils refusent d’être complices de la violence sexuelle faite aux femmes. En fait, puisqu’il s’agit d’un problème de société, nous voulons lancer le message qu’il faut agir ensemble, hommes et femmes, pour lutter contre la violence. Nous sommes tous concernés », explique Rosa Pires, porte-parole du RQCALACS. De même, la campagne cherche à contrer le sentiment de culpabilité très souvent vécu par les victimes. « Trop de campagnes de sensibilisation s’adressant aux femmes et aux jeunes tendent à les responsabiliser en leur prêchant la prudence ou en mettant l’accent sur le seul geste de dénoncer. Nous souhaitons responsabiliser les agresseurs et inverser la tendance », ajoute Rosa Pires.
« Notre campagne montre différents visages de la violence sexuelle, comme l’inceste et les drogues du viol. Nous avons aussi mis en scène une dame âgée victime d’attouchements par un préposé, parce que cela arrive malheureusement, et ce partout dans le monde», affirme Karine Tremblay, également porte-parole du Regroupement. Si, dans les deux tiers des cas déclarés à la police, les victimes ont moins de 18 ans, l’autre tiers représente des adultes de tous âges, principalement des femmes. « On croit que certaines femmes, jugées peu attirantes, sont à l’abri de la violence sexuelle. Et, dans le cas des femmes sexy, on les accuse de « provoquer » les agresseurs. Avec cette campagne, nous voulons défaire ces préjugés », renchérit Karine Tremblay.
Le Regroupement invite les internautes à regarder les capsules sur son site internet, puis à les diffuser sur les réseaux sociaux. À l’occasion de la 30e Journée d’action contre la violence sexuelle faite aux femmes, les CALACS aux quatre coins du Québec organisent des activités pour souligner cette journée. « S’’impliquer comme citoyen ou citoyenne qui refuse la violence faite aux femmes, partout dans le monde, peut se traduire par un geste simple : Diffuser des outils de sensibilisation et participer à des activités pour manifester votre solidarité envers toutes les femmes victimes de violence sexuelle. Ce sont de petits gestes d’espoir», conclut Rosa Pires.
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Pour information : Rosa Pires ou Karine Tremblay, 514 529-5252; cellulaire 514 346-5252
Pour visionner les capsules de sensibilisation, et pour connaître les coordonnées des CALACS : www.rqcalacs.qc.ca
Source : Regroupement québécois des Centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)