Diane Guilbault signe sur Sisyphe un hommage à Hélène Pedneault ("femmage", rectifierait cette dernière...). Vous pouvez ajouter vos réflexions, sentiments, souvenirs, commentaires à la suite de ce texte. Pour qu'on se souvienne toujours de ce qu'Hélène Pedneault, dont la passion n'avait d'égale que la générosité, a apporté aux femmes et à la société québécoise. Article de Diane Guilbault: «Le 1er décembre, Hélène Pedneault a tiré sa révérence. Nous serons beaucoup à regretter son départ : trop jeune, trop vivante... Ce silence infini, définitif, s’accorde mal avec la présence incandescente qu’incarnait Hélène Pedneault ! Je n’étais pas une proche, mais comme des centaines de féministes, j’ai eu le bonheur de la côtoyer et de profiter de son dynamisme, de sa sincérité, de sa jeunesse d’esprit, de son esprit d’aventure, de sa créativité, de son âme de poète. Comme bien d’autres lectrices de la Vie en Rose, j’ai rigolé et grincé des dents en lisant ses chroniques délinquantes. Comme des milliers de Québécoises et de Québécois, j’ai vibré aux nombreux spectacles qu’elle a montés.(...)»

Des liens vers d'autres articles sur Hélène Pedneault sous cet hommage.

Lire le texte intégral: "Hommage à Hélène Pedneault", par Diane Guilbault.

Aussi: "Mort de l'écrivaine féministe Hélène Pedneault"

Christiane Charette a fait une entrevue avec Clémence Dessrochers qui a longuement parlé d'Hélène Pedneault. L'entrevue devrait être en ligne bientôt sur le site Christiane Carette, Radio-Canada.

Ce matin, Lise Payette a livré un témoignage émouvant à l'émission "C'est bien meilleur le matin". Sans doute reviendra-t-elle, dans l'une de ses prochaines chroniques du vendredi dans Le Devoir, sur ce départ prématuré d'une grande Québécoise, féministe et nationaliste. Ne manquez pas notre édition de la commémoration du drame de Polytechnique en ligne dès le 5 décembre. Sisyphe