Une agression est une agression !
Communiqué
Montréal, le 17 décembre 2009 – Aujourd’hui, la Fédération des femmes du Québec a participé à une marche organisée par l’organisme Stella dans le cadre de la Journée internationale de dénonciation de la violence faite aux travailleuses et travailleurs du sexe. Pendant la marche, la présidente, Alexa Conradi, a pris la parole pour affirmer que « la violence envers les femmes œuvrant dans l’industrie du sexe constitue une violence à l’égard des femmes et doit être traitée par l'appareil judiciaire, la police et le réseau de la santé et des services sociaux comme un crime. Le préjugé à l’effet que les agressions sexuelles et autres violences commises à l’endroit d’une femme sont parties prenantes de la prostitution/travail du sexe n’a pas sa place. »
En participant à la marche, la FFQ vise à exprimer sa volonté d’en finir avec l’indifférence et l’impunité lorsqu’il s’agit de violence à l’endroit des femmes qui sont actives dans l’industrie du sexe. « Il ne doit pas y avoir un double standard lorsque nous parlons de femmes dans l’industrie du sexe. Une agression est une agression, point. » Rappelons que la majorité des crimes commis contre ces femmes ne font pas l’objet de dénonciation publique notamment en raison des préjugés et de la stigmatisation dont elles sont victimes.
Dans le cadre de cette marche, Stella, un groupe de défense des droits des travailleuses du sexe, a fait la promotion de la décriminalisation complète de l'industrie comme solution à la violence et à l’insécurité subies par les femmes qui y sont actives. Pour sa part, fidèle à la position prise en assemblée générale des membres, la porte-parole de la FFQ a indiqué à la foule réunie que la FFQ est divisée quant à la pertinence de revendiquer l’abolition ou la décriminalisation de la prostitution/travail du sexe. Toutefois, Madame Conradi a affirmé: « peut importe qu’on soit pour ou contre l’abolition de la prostitution ou de la décriminalisation du travail du sexe, nous sommes toutes d’accords pour dénoncer la violence subie par les femmes, sans discriminations. »
[Source : http://ffq.qc.ca/communiques/2009-12-17-Violence-travail-du-sexe.html]
Montréal, le 17 décembre 2009 – Aujourd’hui, la Fédération des femmes du Québec a participé à une marche organisée par l’organisme Stella dans le cadre de la Journée internationale de dénonciation de la violence faite aux travailleuses et travailleurs du sexe. Pendant la marche, la présidente, Alexa Conradi, a pris la parole pour affirmer que « la violence envers les femmes œuvrant dans l’industrie du sexe constitue une violence à l’égard des femmes et doit être traitée par l'appareil judiciaire, la police et le réseau de la santé et des services sociaux comme un crime. Le préjugé à l’effet que les agressions sexuelles et autres violences commises à l’endroit d’une femme sont parties prenantes de la prostitution/travail du sexe n’a pas sa place. »
En participant à la marche, la FFQ vise à exprimer sa volonté d’en finir avec l’indifférence et l’impunité lorsqu’il s’agit de violence à l’endroit des femmes qui sont actives dans l’industrie du sexe. « Il ne doit pas y avoir un double standard lorsque nous parlons de femmes dans l’industrie du sexe. Une agression est une agression, point. » Rappelons que la majorité des crimes commis contre ces femmes ne font pas l’objet de dénonciation publique notamment en raison des préjugés et de la stigmatisation dont elles sont victimes.
Dans le cadre de cette marche, Stella, un groupe de défense des droits des travailleuses du sexe, a fait la promotion de la décriminalisation complète de l'industrie comme solution à la violence et à l’insécurité subies par les femmes qui y sont actives. Pour sa part, fidèle à la position prise en assemblée générale des membres, la porte-parole de la FFQ a indiqué à la foule réunie que la FFQ est divisée quant à la pertinence de revendiquer l’abolition ou la décriminalisation de la prostitution/travail du sexe. Toutefois, Madame Conradi a affirmé: « peut importe qu’on soit pour ou contre l’abolition de la prostitution ou de la décriminalisation du travail du sexe, nous sommes toutes d’accords pour dénoncer la violence subie par les femmes, sans discriminations. »
[Source : http://ffq.qc.ca/communiques/2009-12-17-Violence-travail-du-sexe.html]