G20 : La FFQ demande une enquête indépendante
Communiqué
MONTRÉAL, le 29 juin /CNW Telbec/ - La Fédération des femmes du Québec (FFQ) appuie la demande de la section canadienne d'Amnistie internationale et de la Ligue des droits et libertés pour une enquête publique indépendante sur les mesures de sécurité entourant le G20.
Dans les jours précédant la rencontre internationale à Toronto, l'ampleur des dépenses en matière de sécurité était déjà préoccupante. "Suite aux nouvelles des derniers jours, on peut se questionner sur les agissements des forces de l'ordre. Les témoignages concernant les conditions d'arrestation et de détention des personnes manifestantes sont inquiétants et révoltants", déclare Alexa Conradi, présidente de la FFQ. "Nous sommes préoccupées par ce qui semble être une volonté d'empêcher les gens de manifester. Le Canada, en tant que pays démocratique, se doit de respecter les droits de ses citoyennes et citoyens", continue madame Conradi.
La politique du gouvernement conservateur en matière d'avortement et la répression qui a eu lieu au sommet du G20 à Toronto démontrent bien jusqu'où ce gouvernement est prêt à aller pour faire reculer les droits humains dans notre pays. La FFQ restera vigilante.
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/June2010/29/c9180.html]
MONTRÉAL, le 29 juin /CNW Telbec/ - La Fédération des femmes du Québec (FFQ) appuie la demande de la section canadienne d'Amnistie internationale et de la Ligue des droits et libertés pour une enquête publique indépendante sur les mesures de sécurité entourant le G20.
Dans les jours précédant la rencontre internationale à Toronto, l'ampleur des dépenses en matière de sécurité était déjà préoccupante. "Suite aux nouvelles des derniers jours, on peut se questionner sur les agissements des forces de l'ordre. Les témoignages concernant les conditions d'arrestation et de détention des personnes manifestantes sont inquiétants et révoltants", déclare Alexa Conradi, présidente de la FFQ. "Nous sommes préoccupées par ce qui semble être une volonté d'empêcher les gens de manifester. Le Canada, en tant que pays démocratique, se doit de respecter les droits de ses citoyennes et citoyens", continue madame Conradi.
La politique du gouvernement conservateur en matière d'avortement et la répression qui a eu lieu au sommet du G20 à Toronto démontrent bien jusqu'où ce gouvernement est prêt à aller pour faire reculer les droits humains dans notre pays. La FFQ restera vigilante.
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/June2010/29/c9180.html]