Rassemblement national : Pour l’élimination de la violence envers les femmes
Le 6 décembre 2010 clôturera une autre campagne des 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes ; une campagne québécoise de sensibilisation et d’actions coordonnée par un comité composé de groupes de femmes et de groupes de défense des droits.
Cette année, nous mettons de l'avant 14 façons de lutter contre la violence envers les femmes pour honorer la mémoire des quatorze jeunes femmes victimes d’un crime politique contre les femmes le 6 décembre 1989. Venez joindre votre voix à la nôtre pour dénoncer la militarisation et la marchandisation du corps et de la sexualité des femmes, deux phénomènes qui jouent un rôle important dans la mise en place et le maintien de conditions, normes et pratiques qui permettent à la violence envers les femmes d’exister et de perdurer.
Pour agir contre la marchandisation du corps et de la sexualité des femmes :
La Campagne des 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes, coordonnée par la Fédération des femmes du Québec (FFQ), est menée conjointement avec : le comité des femmes des communautés culturelles de la FFQ, la Concertation des luttes contre l’exploitation sexuelle, la Fédération de ressources d’hébergement pour femmes violentées et en difficulté du Québec, la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ, Femmes Autochtones du Québec, L’R des centres de femmes du Québec, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, le Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel – RQCALACS, le Réseau d’action des femmes handicapées du Canada, le Réseau des lesbiennes du Québec et la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes.
Cet Appel à l’action est endossé par 114 personnes et 184 organismes.
Cette année, nous mettons de l'avant 14 façons de lutter contre la violence envers les femmes pour honorer la mémoire des quatorze jeunes femmes victimes d’un crime politique contre les femmes le 6 décembre 1989. Venez joindre votre voix à la nôtre pour dénoncer la militarisation et la marchandisation du corps et de la sexualité des femmes, deux phénomènes qui jouent un rôle important dans la mise en place et le maintien de conditions, normes et pratiques qui permettent à la violence envers les femmes d’exister et de perdurer.
Pour agir contre la marchandisation du corps et de la sexualité des femmes :
- Dénonçons les publicités sexistes
- Dénonçons l’idéal de beauté qui nous est imposé
- Refusons de consommer de la pornographie
- Dénonçons la traite des femmes et des enfants à des fins sexuelles
- Dénonçons le viol utilisé comme arme de guerre
- Refusons que les droits des femmes servent de prétexte à la guerre
- Refusons d’acheter des jeux et des jouets de guerre
- Dénonçons le recrutement militaire dans les établissements d’enseignement
- Dénonçons la banalisation de la violence
- Intervenons si nous entendons des paroles violentes ou sexistes
- Intervenons lorsqu’une femme se fait harceler ou violenter
- Dénonçons les agresseurs et l’impunité dont ils bénéficient
- Dénonçons les propos antiféministes, une attaque contre toutes les femmes
La Campagne des 12 jours d’action pour l’élimination de la violence envers les femmes, coordonnée par la Fédération des femmes du Québec (FFQ), est menée conjointement avec : le comité des femmes des communautés culturelles de la FFQ, la Concertation des luttes contre l’exploitation sexuelle, la Fédération de ressources d’hébergement pour femmes violentées et en difficulté du Québec, la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ, Femmes Autochtones du Québec, L’R des centres de femmes du Québec, le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale, le Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel – RQCALACS, le Réseau d’action des femmes handicapées du Canada, le Réseau des lesbiennes du Québec et la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes.
Cet Appel à l’action est endossé par 114 personnes et 184 organismes.