Bonnes et mauvaises nouvelles sur l'avancement des femmes cadres supérieures
Communiqué
TORONTO, le 3 mars /CNW/ - L'enquête Catalyst 2010 sur les femmes cadres supérieures et les femmes les mieux rémunérées selon le classement Financial Post 500, qui vient tout juste d'être publiée, contient de bonnes et de moins bonnes nouvelles sur l'avancement des femmes à la tête des grandes entreprises du Canada. Les découvertes les plus réjouissantes indiquent que le nombre de sociétés ouvertes du classement Financial Post 500 dont 25% ou plus des postes de haute direction sont occupés par des femmes a augmenté de 7,7 % au cours des deux dernières années. Sur une note moins encourageante, toutefois, l'étude révèle une faible évolution entre 2008 et 2010 de la représentation des femmes parmi les cadres supérieurs et les dirigeants les mieux rémunérés.
« Chez Catalyst, nous estimons que ce qui se mesure se réalise, a déclaré Deborah Gillis, vice-présidente principale, Service aux membres et Opérations internationales, Catalyst. Les entreprises canadiennes sous-utilisent considérablement le talent des femmes, en dépit du fait qu'elles soient au cœur de nos économies. Alors que les entreprises se ressourcent et se réinventent, il est dans leur intérêt de former cet important segment du personnel pour combler des postes de direction, à défaut de quoi elles risquent de perdre des avantages concurrentiels. »
Selon l'enquête Catalyst :
« L'étude de Catalyst indique que les entreprises détenant un plus grand nombre de femmes à la haute direction réussissent mieux en moyenne que celles qui en comptent moins, a ajouté Mme Gillis. Le temps a fait son temps. Le milieu des affaires doit s'engager à faire progresser l'avancement des femmes au risque de perdre des talents. À la lumière de la férocité de la concurrence mondiale, les grandes entreprises canadiennes n'ont rien à perdre et tout à gagner à choisir leurs chefs parmi un éventail complet de talents : femmes et hommes. »
Catalyst Canada, qui publie son enquête depuis 1998, a longtemps été reconnue comme le meilleur point de référence en matière de recherche sur l'avancement des femmes dans l'entreprise.
À PROPOS DE CETTE ENQUÊTE
L'enquête Catalyst 2010 sur les femmes cadres supérieures et les femmes les mieux rémunérées selon le classement Financial Post 500 est une analyse rigoureuse et précise mesurant la représentation des femmes dans 468 sociétés classées par le Financial Post (FP500) au 1er juin 2010. Pour en assurer l'exactitude, Catalyst donne aux entreprises l'occasion de vérifier la justesse des données recueillies. En 2010, 84,5% des entreprises sollicitées ont vérifié les données qui les concernaient. Pour les sociétés non participantes au processus de vérification, Catalyst a utilisé des données publiques qui avaient été déposées auprès des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) par le biais du Système électronique des données, d'analyse et de recherche (SEDAR) ou encore qui avaient été publiées dans le rapport annuel le plus récent de la société.
À PROPOS DE CATALYST
Fondé en 1962, Catalyst est le plus important organisme sans but lucratif voué au développement des opportunités pour les femmes et les entreprises. Établi aux Canada, aux États-Unis et en Europe, et comptant plus de 400 grandes sociétés membres, Catalyst est une source fiable de recherches, d'informations et de consultations sur les femmes au travail. Chaque année, Catalyst honore des initiatives d'entreprise exemplaires qui font la promotion de l'avancement des femmes dans trois catégories: Dirigeant de société ou d'entreprise, Personnalité du monde des affaires, et Dirigeant des ressources humaines ou de la diversité - en leur décernant les prix honorifiques de Catalyst Canada.
-> Téléchargez l'enquête (PDF, disponible en anglais seulement)
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2011/03/c7554.html]
TORONTO, le 3 mars /CNW/ - L'enquête Catalyst 2010 sur les femmes cadres supérieures et les femmes les mieux rémunérées selon le classement Financial Post 500, qui vient tout juste d'être publiée, contient de bonnes et de moins bonnes nouvelles sur l'avancement des femmes à la tête des grandes entreprises du Canada. Les découvertes les plus réjouissantes indiquent que le nombre de sociétés ouvertes du classement Financial Post 500 dont 25% ou plus des postes de haute direction sont occupés par des femmes a augmenté de 7,7 % au cours des deux dernières années. Sur une note moins encourageante, toutefois, l'étude révèle une faible évolution entre 2008 et 2010 de la représentation des femmes parmi les cadres supérieurs et les dirigeants les mieux rémunérés.
« Chez Catalyst, nous estimons que ce qui se mesure se réalise, a déclaré Deborah Gillis, vice-présidente principale, Service aux membres et Opérations internationales, Catalyst. Les entreprises canadiennes sous-utilisent considérablement le talent des femmes, en dépit du fait qu'elles soient au cœur de nos économies. Alors que les entreprises se ressourcent et se réinventent, il est dans leur intérêt de former cet important segment du personnel pour combler des postes de direction, à défaut de quoi elles risquent de perdre des avantages concurrentiels. »
Selon l'enquête Catalyst :
- Le pourcentage de femmes occupant des postes de haute direction a progressé de moins d'un pour cent en deux ans, passant de 16,9% en 2008 à 17,7% en 2010.
- Les femmes représentées à la haute direction détenaient 6,2% des postes les mieux rémunérés — une hausse inférieure à un pour cent depuis 2008 (5,6%).
- En 2008 et 2010, plus de 30% des entreprises ne comptaient aucune femme à la haute direction.
« L'étude de Catalyst indique que les entreprises détenant un plus grand nombre de femmes à la haute direction réussissent mieux en moyenne que celles qui en comptent moins, a ajouté Mme Gillis. Le temps a fait son temps. Le milieu des affaires doit s'engager à faire progresser l'avancement des femmes au risque de perdre des talents. À la lumière de la férocité de la concurrence mondiale, les grandes entreprises canadiennes n'ont rien à perdre et tout à gagner à choisir leurs chefs parmi un éventail complet de talents : femmes et hommes. »
Catalyst Canada, qui publie son enquête depuis 1998, a longtemps été reconnue comme le meilleur point de référence en matière de recherche sur l'avancement des femmes dans l'entreprise.
À PROPOS DE CETTE ENQUÊTE
L'enquête Catalyst 2010 sur les femmes cadres supérieures et les femmes les mieux rémunérées selon le classement Financial Post 500 est une analyse rigoureuse et précise mesurant la représentation des femmes dans 468 sociétés classées par le Financial Post (FP500) au 1er juin 2010. Pour en assurer l'exactitude, Catalyst donne aux entreprises l'occasion de vérifier la justesse des données recueillies. En 2010, 84,5% des entreprises sollicitées ont vérifié les données qui les concernaient. Pour les sociétés non participantes au processus de vérification, Catalyst a utilisé des données publiques qui avaient été déposées auprès des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) par le biais du Système électronique des données, d'analyse et de recherche (SEDAR) ou encore qui avaient été publiées dans le rapport annuel le plus récent de la société.
À PROPOS DE CATALYST
Fondé en 1962, Catalyst est le plus important organisme sans but lucratif voué au développement des opportunités pour les femmes et les entreprises. Établi aux Canada, aux États-Unis et en Europe, et comptant plus de 400 grandes sociétés membres, Catalyst est une source fiable de recherches, d'informations et de consultations sur les femmes au travail. Chaque année, Catalyst honore des initiatives d'entreprise exemplaires qui font la promotion de l'avancement des femmes dans trois catégories: Dirigeant de société ou d'entreprise, Personnalité du monde des affaires, et Dirigeant des ressources humaines ou de la diversité - en leur décernant les prix honorifiques de Catalyst Canada.
-> Téléchargez l'enquête (PDF, disponible en anglais seulement)
[Source : http://www.newswire.ca/fr/releases/archive/March2011/03/c7554.html]