Parce que le travail invisible, ça compte ! Le 3 avril 2001, l’Afeas créait la Journée du travail invisible. Cette journée, qui se tient chaque année le 1er mardi d’avril, se voulait un cri du coeur collectif pour souligner l’absence de mesures de reconnaissance du travail «invisible» ou non rémunéré. Obstacle à l’égalité entre les femmes et les hommes, cette non reconnaissance est aussi un des facteurs de la pauvreté des femmes au moment où elles prennent soin des enfants et des proches en perte d’autonomie, malades et handicapées et, par conséquent, au moment de leur retraite. À défaut d’être reconnu formellement par les gouvernements, le travail non rémunéré a donc, depuis cette date sa journée annuelle. En 2007, l’Afeas se mobilise pour revendiquer une prestation pour les mères exclues du régime québécois d’assurance parentale lors de la naissance ou de l’adoption d’un enfant et une prestation pour les aidantes et aidants lorsqu’ils se retirent du marché du travail pour aider un proche. Informations : http://www.afeas.qc.ca/que-faisons-nous/dossiers-prioritaires/travail-invisible/ et http://www.afeas.qc.ca/wp-content/uploads/2006/10/CampagnesTI_Bilan2001-06.pdf -------- Source : http://www.afeas.qc.ca/