Depuis le premier contact, les Premières Nations, les Métis et les Inuits du Canada ont été confrontés à diverses formes de violence, y compris, mais sans s’y limiter, à des efforts soutenus d’assimilation qui ont fait en sorte que des générations d’enfants autochtones ont été exposées à la violence et à la négligence. Comme on l’a observé dans d’autres populations qui ont subi un traumatisme collectif, cela a entraîné un risque accru d’exposition personnelle à la victimisation avec violence chez les peuples autochtones. Malgré le contexte unique du colonialisme de peuplement qui a entraîné des cycles transgénérationnels de traumatismes, les nations autochtones continuent de mettre en pratique et de revitaliser leurs connaissances culturelles pour les transmettre de génération en génération et apporter la santé et le bien-être à leurs communautés.