<p>Processus qui, à partir d'un cadre de référence clairement établi, permet l'évaluation et la reconnaissance-validation d'apprentissages théoriques et pratiques, peu importe leur lieu ou leur mode d'acquisition. Cet exercice peut se réaliser dans le cadre d'un projet de diplomation, de qualification professionnelle, d'insertion en emploi ou d'un projet personnel. (Dubé, 2004)</p><p>Cadre général de développement et de reconnaissance des compétences : système qui établit l'ensemble des paramètres permettant de baliser le développement et la reconnaissance des compétences acquises en milieu de travail par la main-d'œuvre, pour un métier, une fonction de travail ou une profession. (Définition inspirée du Guide du Cadre général de développement et de reconnaissance des compétences à l'intention des comités sectoriels de main-d'œuvre, version août 2004)</p>

Mode d’organisation de la formation professionnelle selon lequel la personne se prépare à l’exercice d’un métier ou d’une profession, en travaillant comme apprenti en milieu de travail sous la supervision d’un compagnon. Ce régime met donc l’accent sur la formation en entreprise, tout en maintenant la formation générale assurée par les établissements d’enseignement. Au Québec, la formation professionnelle acquise dans le cadre du régime d’apprentissage doit être qualifiante,cumulable et transférable, sanctionnée par le ministre de l’Éducation. (Loi favorisant le développement de la formation de la main-d’œuvre, article 44.1)

Comprennent le mobilier qui est constitué de l'ameublement non fixe et non intégré aux immeubles; l'appareillage et l'outillage, qui englobent les appareils, les machines, l'équipement lourd, les outils et les instruments, les accessoires d'un appareil, l'équipement de sécurité, le matériel audiovisuel et informatique et d'autres ressources telles que la matière première, les ressources pour l'entretien et la location d'équipement, les sources d'alimentation, etc.